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lundi 29 avril 2013

Pour que cette ABERRATION « GÉNÉTIQUE » CESSE ?

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17 % des 15-29 ans ne sont ni à l'école, ni au travail, ni en formation.



Un flot de jeunes marginalisés menace de s'accroître en France: au début de l'année 1,9 million de Français de 15 à 29 ans n'allait ni à l'école, ni au travail et ne bénéficiait d'au­cun soutien psychologique et de formation, selon le Conseil d'analyse économique (CAE).



Plus grave encore: 900.000 jeunes ont quitté le cursus scolaire sans diplôme, donc sans aucun viatique pour l'emploi.
17 % des jeunes de cette classe d'âge échappent à L'ETAT et à la protection de la jeunesse, c'est une faute !



Ce chiffre qui est plus élevé qu'ailleurs, est source d'inquiétude.
«Si la crise a affecté l'ensemble des pays développés, nombre de pays européens connaissent des taux d'emplois des jeunes supérieurs au nôtre», soulignent les auteurs de cette analyse.



Ces constats déplorables ne datent pas d'hier, il est le résultat de nos modes de vie culturelle et de nos choix économiques, notre consommation d’alcool est la plus élevée du monde et nous savons depuis de nombreuses années que cette consommation d’alcool provoque des déficiences mentales chez nos enfants, qui inévitablement reproduisent leur mode de vie une fois adulte.


La solution proposée est coûteuse et le résultat plus qu'aléatoire !



Pour tenter d'inverser la tendance, le CAE prône la mise en place de deux types de mesure: celle qui amènera le jeune vers l'emploi, puis celle qui incitera les entreprises à les accueillir.

Réorienter les fonds des emplois d'avenir

Ces deux axes d'un même engrenage vertueux sont forgés autour de deux idées maîtresses.
Dans un premier temps, le CAE prône le développement de l'enseignement professionnel via l'alternance emploi-étude.
En Allemagne, c'est une réussite: 50 % des jeunes utilisent cette possibilité, contre 25 % en France.
«En outre, la hausse récente de l'apprentissage est le fait des diplômés alors que l'effort devrait être concentré sur les jeunes sans diplôme», note cette instance qui dépend directement du premier ministre.
Ce constat engendre une proposition simple: réorienter les fonds alloués aux emplois d'avenir vers la formation des jeunes sans diplôme, en subventionnant 120.000 emplois avec une formation en alternance (secteur marchand) et 750.000 formations à plein temps dans les programmes de «la deuxième chance».
Dans un second temps, du côté des entreprises, le CAE suggère de supprimer l'obstacle du salaire minimum pour les jeunes peu qualifiés: des allègements de charges ciblés seraient réservés aux contrats de génération pour les rémunérations inférieures à 1,6 fois le smic. «Les sommes dégagées seraient ré-allouées à l'accompagnement des jeunes», poursuivent ces experts qui proposent, en outre, la simplification de la rupture du contrat de travail pour motif économique. Une réelle alternative entre des CDI trop stables et des CDD qui le sont trop peu. En ouvrant le RSA aux jeunes et en triplant les moyens de l'État pour l'accompagnement, le CAE voudrait ainsi inverser les courants de cette inquiétante marée.



Ils seront à la charge de la nation jusqu’à leur mort.



D'après un commentaire de Charles GAUTIER

Que faisons nous pour que cette ABERRATION « GÉNÉTIQUE » CESSE ?

2 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  2. Et maintenant dés la Sixième nos écoliers se soûlent!!! Ça ne va pas améliorer leurs résultats scolaires... indigné81370

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