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mardi 31 décembre 2013

C'est tous les jours



92 personnes que UE n'aura pas entretenir soigner et expulser


33 femmes, 7 hommes et 52 enfants sont mort de soif

Seul 17 personnes et une fillette de 10 ans, ont survécu à 1200 Km de chez eux, dans le terrible désert du Ténéré...


samedi 28 décembre 2013

Des électeurs pas ou mal inscrits


Quelque 22% d’électeurs pas ou mal inscrits pourraient ne pas pouvoir voter en 2014. 

 

La faute à une procédure archaïque, qui profite plutôt à la droite.


Dénonce Jean-Yves Dormagen, directeur du département de sciences politiques de l’université de Montpellier-I.



Plus que quatre jours pour s’inscrire sur les listes électorales. C’est une exception politique française qui risque de piéger tous les non-inscrits et les mal-inscrits notamment parce qu’ils ont déménagé, ont été naturalisés ou radiés qui voudront voter les 23 et 30 mars aux municipales et le 25 mai pour les élections européennes : «La procédure est véritablement moyenâgeuse, digne d’une France rurale où les gens déménageaient au maximum deux fois dans leur vie: on demande aux citoyens de se rendre en mairie pour s’inscrire l’année précédant le scrutin. Soit avant le 31 décembre 2013 pour voter en 2014 aux municipales, alors que la campagne n’est même pas commencée !
On est à l’heure d’Internet, dans une société extrêmement mobile et on a la procédure la plus lourde et la plus contraignante du monde», s’étrangle ce spécialiste de l’abstention.
Dans une société modernisée, cette incongruité réglementaire s’apparente à une grave anomalie démocratique.
Trois millions de Français en âge de voter ne sont pas inscrits sur les listes, soit 7 % du corps électoral potentiel.
Cela représente l’équivalent de la population combinée de Paris, Lyon et Marseille.
A cela s’ajoutent les «mal-inscrits» : à partir d’un échantillon représentatif de 40 000 inscrits sur une liste électorale, que 15% ne le sont pas à la bonne adresse.
Ce qui représenterait 6,5 millions d’électeurs au niveau national.
«Au total près de 9,5 millions de citoyens ne sont pas ou mal inscrits, c’est le nombre de voix obtenues par Nicolas Sarkozy au premier tour de la présidentielle 2012.
Un électeur sur cinq a un problème d’inscription. Et parmi eux, ceux pour qui c’est un choix ils sont une minorité.



jeudi 26 décembre 2013

C'est toujours la bérézina


Noël 2013 

Appauvrissement et régression sociale historiques

dans toute l’Union européenne



Les statistiques qui viennent de donnés Eurostat pour le mois d’octobre 2013 sont terribles.

Elles le sont d'autant plus qu'elles ne peuvent pas être suspectées de noircir le tableau, bien au contraire !
Elles sont en effet produites par un organisme dépendant de la Commission européenne, et elles se fondent sur les données officielles des États-membres qui sont, tout le monde le sait, souvent enjolivées par des trucages méthodologiques (stages parkings et radiations abusives pour faire descendre artificiellement le nombre de demandeurs d'emploi par exemple).
Ces données Eurostat pour octobre 2013 sont les suivantes :
  • Grèce : 27,3 % de chômage officiel pour l'ensemble de la population. Et 54,8 % de chômage pour les jeunes (de 15 à 24 ans).
  • Espagne : 26,7 % de chômage officiel pour l'ensemble de la population ; 57,4 % de chômage pour les jeunes.
  • Croatie : 17,6 % de chômage officiel pour l'ensemble de la population ; 52,4 % de chômage pour les jeunes.
  • Chypre : 17,0 % de chômage officiel pour l'ensemble de la population ; 43,3 % de chômage pour les jeunes.
  • Portugal : 15,7 % de chômage officiel pour l'ensemble de la population ; 36,5 % de chômage pour les jeunes.
  • Slovaquie : 13,9 % de chômage officiel pour l'ensemble de la population ; 31,5 % de chômage pour les jeunes.
  • Bulgarie : 13,2 % de chômage officiel pour l'ensemble de la population ; 28,8 % de chômage pour les jeunes.
  • Irlande : 12,6 % de chômage officiel pour l'ensemble de la population ; 26,0 % de chômage pour les jeunes.
  • Italie : 12,5 % de chômage officiel pour l'ensemble de la population ; 41,2 % de chômage pour les jeunes.

Ces données statistiques brutes se traduisent dans la vie quotidienne par un appauvrissement et une régression sociale historiques sur l'ensemble du continent européen, sans précédent depuis la crise des années 1930


lundi 23 décembre 2013

Agence de notation



S&P pénalise l'UE pour le manque solidarité
entre tous les pays membres , ce qui fragilise toute
sortie de cette crise et de + de croissance.

AA+

Cette institution fait donc de la politique !
C'est vrai que notre égoïsme n'est pas propice
à la création de richesses !...

dimanche 22 décembre 2013

Des coupables innocents


Le Laxisme juridiques Français,
produit des coupables innocents !!!

Un point juridique de UE au cœur de l'actualité.

Aujourd'hui, dans l'«affaire Léa», le meurtrier présumé, qui n'a pas bénéficié d'un avocat lors de sa garde à vue, pourrait échapper à son procès.



La question de la présence des avocats pendant la garde à vue de leur client a donné lieu, il y a une poignée d’années, à des débats juridiques passionnants.
On invoquait alors le nécessaire principe du droit à la défense et au procès équitable.
Mais le chemin qui a abouti à la réforme d’avril 2011, qui impose effectivement la présence d’un avocat auprès des gardés à vue, a été trop long et heurté.
Ces péripéties ont créé des anomalies juridiques les plus graves: les gardes à vue menées sans avocat avant le 15 avril 2011, date de la mise en application de la loi, peuvent être annulées.
La Non application du droit européen en temps et en heure sur l'obligation de la présence de l’avocat au poste de police dès la 1ère heure risque vont faire échapper les auteurs de crimes à leur procès?

Des aveux, sans avocat



C’est le réveillon de l’an 2011, et Léa rencontre Gérald, lors d’une fête à Montpellier. Quelques heures plus tard, le jeune homme la viole et la frappe jusqu’à la tuer. Il est vite retrouvé par les policiers du commissariat de la ville et avoue immédiatement, en pleurs. Il dit que Léa est peut-être encore en vie, indique les lieux du drame.
Les policiers se précipitent mais Léa est déjà morte. Les policiers découvrent près de son corps la gourmette de Gérald.
 
Le garçon de 24 ans réitère ses aveux, toujours sans avocat, devant les policiers du SRPJ, la police judiciaire, qui enquête sur les affaires les plus graves.
Mais quelques semaines plus tard, devant le juge d’instruction, il revient sur ses aveux et dit avoir tout oublié.
D'après un texte de Sonya Faure


Ce laxisme est du en grande partie aux politiques qui n'ont pas voulu froisser les cadres de la Police Nationale... qui ne voulaient surtout pas en entendre parler !
Il nous reste le relevé d'empreintes génétiques, qui peuvent être apportées au dossier et corroborer l'implication du soupçonné... mais le mal est fait !

La tyrannie de la transparence



Tout citoyen devient un terroriste

qui s’ignore



En voulant transcrire le texte de loi qui régit les écoutes administratives en cas de soupçon de terrorisme, le texte de l’article 20 (ex-article 13) de la loi de programmation militaire est en effet allé beaucoup plus loin en y introduisant toutes les "infractions mentionnées à l’article 695-23 du code de procédure pénale", c’est-à-dire pratiquement tous les crimes et délits.



Autrement dit, tous les crimes et délits seront désormais traités comme les actes de terrorisme.
Concrètement, il deviendra possible, à partir de janvier 2015, si la loi n’est pas modifiée, de pénétrer dans votre ordinateur sans contrôle d’un juge si vous êtes soupçonné d’avoir téléchargé un fichier musical ou un film ou soupçonné de "fraude" ou de "piratage".
Juste par la volonté d’une "autorité administrative", c’est-à-dire d’un être humain anonyme, investi d’une autorité.
Jacques Attali

samedi 21 décembre 2013

Mesures d'urgence Capitalo-Libérale Débridé


«mesures d'urgence»

de l'UMP supprimer les 35h

 

C’est techniquement compliqué, dangereux pour l'emploi et politiquement risqué !!!



Cette fois, c’est promis : si elle revient au pouvoir, l’UMP en finira avec les 35 heures. 

Et même avec toute durée légale du travail. Le premier parti d’opposition préconise en effet de renvoyer au niveau de l’entreprise la négociation sur le sujet : c’est-à-dire sur le seuil de déclenchement des heures supplémentaires, aujourd’hui fixé à 35 heures par la loi. Mais si elle était aujourd’hui au pouvoir, la droite oserait-elle appliquer dès maintenant sa promesse ? Rien n’est moins sûr, pour plusieurs raisons, dont les principales sont détaillées ci-dessous. Prise séparément, aucune n’est insurmontable ; considérées ensemble, elles forment autour des 35 heures une épaisse ligne de défense.
A quoi bon augmenter le temps de travail lorsque les carnets de commandes sont vides et le chômage au plus haut ?
«Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises sont en sureffectif, rappelle Eric Heyer, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).
En Europe, la plupart des pays ont diminué leur temps de travail, notamment en développant les temps partiels.
En France, la loi sur la sécurisation de l’emploi adoptée cette année facilite également cette solution.»
Certes, si le projet de l’UMP était appliqué, rien n’interdirait aux entreprises de négocier… une baisse du temps de travail.
Mais l’on parierait volontiers que tel n’est pas l’esprit de la mesure. 
A contrario, augmenter le temps de travail peut avoir un sens en période de croissance et de bas chômage, lorsque les entreprises rencontrent des difficultés de recrutement.
Comme au début du quinquennat de Nicolas Sarkozy : le taux de chômage n’était alors «que» de 7,1%.
On peut mener des réformes impopulaires, mais celle-ci semble particulièrement hasardeuse. Augmenter la durée de travail des salariés a des conséquences sur la vie professionnelle comme sur le temps privé.
C’est aussi réduire les revenus des salariés effectuant des heures supplémentaires, dont la rémunération est actuellement majorée de 25% - alors même que l’opposition a critiqué la refiscalisation de ces heurs sup, adoptée l’an passé par la gauche.
Selon un sondage réalisé pendant la campagne présidentielle de 2012, 57% des Français s’étaient déclarés favorables au maintien des 35 heures - de même que les principaux syndicats.
La pagaille juridique qui suivrait la suppression des 35 heures aurait de quoi décourager plus d’un patron.
Elle rendrait en effet caducs les nombreux accords de branches et d’entreprises conclus au moment du passage aux 35 heures pour en fixer les modalités et contreparties.
Les nouvelles négociations devraient notamment résoudre la délicate question salariale : l’augmentation du temps de travail se ferait-elle à salaire mensuel constant, au détriment des salariés ?
Ou s’accompagnerait-elle d’augmentations ?
Elle exigerait de plus la modification du contrat de chaque salarié, donc son accord individuel.
Contrairement à une idée reçue, les lois Aubry n’ont pas imposé un cadre unique, à 35 heures par semaine pour tous. Elles ont simplement abaissé le seuil au-delà duquel une heure de travail est dite «supplémentaire», et voit sa rémunération majorée. En facilitant le recours à ces heures supplémentaires - notamment avec la défiscalisation en vigueur de 2007 à 2012 -, la droite a paradoxalement renforcé le principe d’une durée légale à 35 heures.
De plus, les lois Aubry ont également permis de fixer le temps de travail sur l’année : dans les entreprises ayant conclu un accord d’annualisation, la durée hebdomadaire peut ainsi varier en fonction de l’activité, dans la limite cumulée de 1 607 heures par an. Pour certains cadres, cette durée est exprimée en jours – 218 par an au maximum.
Dominique ALBERTINI

jeudi 19 décembre 2013

COMPETITIVITE PROFESSIONELLE


La Formation Professionnelle

C'est 32 Mds € par an.

L'exécutif s'est en effet fixé pour objectif de simplifier et de la rendre plus accessible aux demandeurs d'emploi et aux salariés les moins qualifiés.

Il y a des milliards chaque année qui restent inutilisés alors que les demandeurs d'emploi en sont privés... et que le patronat se plaint de ne pas trouver les qualifications dont il a besoin ?

A quoi peuvent bien servir ces 32 milliards d'Euros en gestion paritaire, pour un si piètre résultat ?

Qu'est devenu l'AFPA, les GRETA ?
Quel est leur budget annuel ?
Quelle est la part qui va à la formation des Partis politiques et des syndicats ?

lundi 16 décembre 2013

Le PS du Tarn ne change donc pas ?



C'est toujours la Bérézina !


Son Premier Secrétaire Fédéral est donc obligé de se fendre d'une mise au point officielle sur la position du Parti Socialiste du Tarn :

Désenclavement de CASTRES-MAZAMET

Voici les résultats de la motion adoptée à l'unanimité en bureau Fédéral du 12 Décembre 2013


Considérant que les ELUS de notre parti ont récemment et publiquement pris position pour une Autoroute concédée entre les agglomérations de CASTRES/ MAZAMET et TOULOUSE, en contradiction avec le texte adopté par le Conseil Fédéral . Selon nos règles démocratiques internes au Parti et contrairement à ce qui est affirmé dans le quotidien LA DEPECHE : il se prononce pour l'aménagement d'une deux fois deux voies GRATUITES.

Le Bureau Fédéral demande donc aux militants et sympathisante socialistes du département d'exiger de nos ÉLUS SOCIALISTES du Conseil Départementale de ne pas voter en faveur d'un texte approuvant une autoroute concédé, donc payant, tant cette solution est défavorable à une large majorité des usagers du sud du Tarn .

jeudi 12 décembre 2013

RÉDUIRE LA DÉPENSE PUBLIQUE DE !!!


 130 Milliards
€uros ?



C'est le chiffre choc annoncé par JF Copé.


Un chiffre correspondant aux économies que l'UMP engagerait sur la dépense publique, si elle revenait au pouvoir.
Un chiffre considérable, mais le leader de l'UMP veut le rendre crédible en soulignant qu'il s'agit seulement de 10% des crédits dépensés chaque année par les administrations.
Est-ce envisageable ?
D'abord, il faut souligner que la dépense publique ne représente pas 1.300 Mrds d'€uros.
Elle atteignait 1.151 Mds en 2012.
Compte tenu de la hausse annuelle actuelle, qui se situe entre zéro et 1% en volume, le niveau de 1.300 milliards sera plutôt atteint en 2016 ou 2017. Jean-François Copé vise donc, sans doute, la dépense publique de 2017.

Dans quelles conditions?

Mais là n'est pas le problème soulevé par l'opposition.
Il est plutôt de savoir dans quelles conditions une baisse de 130 Mds € de la dépense publique peut-elle être envisagée.
Jean-François Copé évoque la baisse du nombre d'élus, parlementaires et élus locaux.
Quelle serait l'économie procurée par une telle décision ?
Tout au plus de quelques 100 mds d'€uros
Nul ne peut prétendre sérieusement que la solution réside là.

 La dépense publique, n'est pas qu'une masse de fonctionnaires dans des bureaux.

C'est avant tout une dépense sociale.
Celle-ci représente, tout compris, près de 58% de la dépense publique française, toutes administrations confondues (665 Mds d'euros sur 1.151 Mds)...2Mds€ par jour.
Les dépenses d'assurance vieillesse représentaient à elles seules 311 Mds d'euros en 2012, selon l'Inseelles pour la famille 51,9 Mds.
Pour la santé, la dépense publique atteint 168,4 Mds. La politique du logement compte pour 22,4 Mds.
Les autres gros postes de dépenses sont l'éducation (124,8 Mds), les affaires économiques, poste qui comprend notamment les transports (75 Mds), le secteur police-justice (36,3 Mds) et la Défense (38,6 Mds).



Où trouver 130 Mds €uros d'économie?
En rabotant tous les crédits de 10% ?
C'est difficilement envisageable.
Une autre méthode peut être, celle de se comparer avec ce qui s'est fait à l'étranger.
Jean-François Copé, qui souligne qu'en Europe, les dépenses publiques représentent globalement, en moyenne 50% du PIB, au lieu de 57% en France.
Patrick Artus l’économiste de NATIXIS adopte lui aussi la même approche comparative.
« Mais » préconise d'abord de ne pas toucher aux dépenses qui soutiennent la croissance.
La France a des dépenses publiques de santé, d'éducation, et de défense, supérieures à la moyenne européenne... Mali, Centreafrique, Liban, etc, etc.
Mais elles contribuent à la croissance de long terme. Il ne faut donc pas chercher à les diminuer ces 7% à priori ...
Si l'on exclut ces dernières du champ des économies, et que l'on se fonde sur les écarts avec les autres pays de la zone euro, pour tenter de se rapprocher de la moyenne, où faut-il couper ?



Il ne restera plus qu'a réduire les retraites, la politique familiale et l'aide au logement » relève Patrick Artus.


S'agissant des retraites, l'Allemagne a montré « l'exemple », de ce point de vue, en coupant dès les années 2000 dans les retraites publiques, et en incitant les salariés allemands à souscrire à des retraites privées .
Avec, pour conséquence, une forte hausse du nombre de retraités allemands se situant sous le seuil de pauvreté (source OCDE).
Y'a-t-il un consensus en France pour privatiser les retraites ?
Ou pour réduire la dépense d'assurance maladie privatisant la sécurité sociale ?
Ce serait là un moyen assurément radical de baisser la dépense publique : c'est le caractère public, plus largement qu'ailleurs, des assurances vieillesse et maladie qui explique pour une bonne part le surpoids de dépenses des administrations en France.
Pour résumer, les Français sont-ils prêts à privatiser la sécu ?
D’après un texte de Ivan Best



C'est encore LE GRAND MENSONGE d'ETAT...
Tous les consommateurs de ce pays paient sur leur salaire brut les 2 Mds € par jour pour faire tourner notre protection sociale  et 1 Milliard pour l'ETAT !
La rédaction

mercredi 11 décembre 2013

Incroyable mais vrai !



Tout parent peut
abandonner un enfant

« 7% des enfants adoptés sont finalement renvoyés à l’Aide sociale à l’enfance »



Dans 100% cachemire, en salle ce mercredi, Valérie Lemercier joue une Parisienne qui adopte un enfant et regrette bien vite son geste, tant le garçon est difficile.
Le scénario s’inspire d’un fait divers américain bien réel : en 2010, un couple, excédé, avait renvoyé dans son pays un petit Russe quelques mois après l’avoir adopté.
Les agréments sont-ils distribués trop facilement, après des contrôles insuffisants ?L’agrément en France n’est pas assez sélectif. Il y a de grandes disparités entre les départements. Ce sont les présidents des conseils généraux qui ont la décision finale. Dans beaucoup d’endroits, c’est le droit à l’enfant qui prime, et non le droit de l’enfant. À Paris, on constate seulement 2 % de refus. Or, un agrément qui est fait correctement prépare bien les parents à la suite.
Il faudrait non seulement une volonté politique forte autour de l’agrément, mais aussi augmenter les moyens d’aide et de suivi des familles. Les candidats à l’adoption doivent prendre conscience de leurs limites psychiques par rapport à leur projet. Les parents ne sont pas assez soutenus pour effectuer ce travail préalable. Certains me donnent l’impression de se préparer à gravir une montagne en sandales. L’adoption ne doit pas consister à sauver un enfant, ni à permettre de réparer un couple qui va mal,  mais à bâtir une famille. C’est un projet qui se construit.

« L’amour n’a jamais suffi »

Que deviennent ces enfants qui sont rendus à l’ASE ? Peuvent-ils être réadoptés ? Si l’adoption a été prononcée, alors ces enfants sont français. Mais d’un point de vue légal, ils ne pourront plus être adoptés de façon plénière par une autre famille. Ils seront alors confiés à des familles d’accueil. Or, ce n’est pas parce qu’un couple a éprouvé ses limites, qu’un autre couple ne serait pas capable d’adopter cet enfant. 
Vous estimez également que l’adoption est trop idéalisée dans notre société…Oui, un halo entoure l’adoption. On refuse de parler des risques. Ce n’est pas politiquement correct. On ne veut garder de l’adoption qu’une image compassionnelle et inanimée, loin de la réalité. Or, il faut connaître les risques pour réussir l’adoption. L’amour n’a jamais suffi. L’enfant a besoin de stabilité, de solidité. Plus la famille est rigide par rapport à ses attentes et peu adaptative par rapport à la réalité de l’enfant, plus les risques sont importants.
Certains enfants sont très traumatisés par un passé difficile, et ils auront beaucoup de mal à investir ces adultes pour les transformer en père et mère. Si les limites de l’un rencontrent les limites de l’autre, on court à l’échec.


Gaèlle ROLLIN Auteur de Destins de l'adoption (Ed. Fayard)

lundi 9 décembre 2013

Les Nouveaux Raleurs


Les « asphyxiées »

 

 Sont avant tout les professions libérales Médicales qui entrent en contestation.

 

S'estimant « asphyxiées » par les impôts et les normes de toutes sortes, elles ouvrent un nouveau front contre les Pigeons, les Poussins, les Tondus, les Sacrifiés.
Ils n'ont pas toujours les mêmes objectifs ; le rapport Combrexelle sur la question de la refonte de la représentativité patronale prévoit un «statut intermédiaire» pour l'UNAPL qui lui permettra d'être consultée en amont et en aval des décisions.
«Les strapontins d'observateurs, on a déjà donné, ça ne sert à rien», assure Michel Chassang.
Il est anormal d'exclure 2 millions de personnes de la négociation et d'accords qui s'appliquent qu'à eux».
Les professions libérales médicales manifestent leur exaspération face à leurs campagnes qui visent à réduire toute leur rémunération.
L'Union nationale des professions libérales (UNAPL) lance aujourd'hui une mobilisation baptisée



«les asphyxiées».



Lance une grande pétition «les métiers de la vie, moi j'y tiens», affichage de pancartes «les métiers de la vie en danger» dans tous les cabinets et une campagne sur Facebook et Twitter
 
Vous êtes les premières victimes avec vos malades de cette campagne nauséabonde contre le financement de comptes sociaux et la réduction de la dépense publique...
Quant aux autres professions libérales, elles sont aussi victimes des revendications du MEDEF, CGPME, UPA , etc, etc   sur l’excès de normes, de règlements qui fait l'essentiel de leur fond de commerce...



dimanche 8 décembre 2013

Ultime solution


Une taxe de 10% pour tous les

 ménages disposant d'un 

patrimoine net



Le FMI a donc sorti sa calculette. D'après le Fonds, pour revenir au niveau d'endettement qui était le leur en 2007, les pays de la zone euro devraient en moyenne taxer de 10% le capital de tous les ménages qui disposent d'un patrimoine net (autrement dit en prenant en compte leurs dettes). Si dans une autre partie du rapport, le FMI indique qu'il "semble exister une marge suffisante dans beaucoup de pays avancés pour tirer davantage de recettes des plus hauts revenus", cette taxe de 10% concernerait ici tous les ménages.

Précision : les calculs du FMI ne concernent que 15 pays de la zone euro.  

samedi 7 décembre 2013

Un don qui se revèle etre une rentrée fiscale en moins


GENETHON


En 2010, son budget était de 27 millions d'euros soit 2,3 millions d'euros supplémentaires par rapport au budget 2008. 85 % des ressources venaient de l'AFM2.

Cette association est autorisée à produire des médicaments ?

Qui sera propriétaire des brevets et gardera les bénéfices financiers ?.

AFM obtient l'ensemble de ses ressources de dons exonérés d'impôts à 60%,

C'est donc l'état le principal financier de cette association et donc le propriétaire des découvertes scientifiques et des brevets …






vendredi 6 décembre 2013

Une NATION impossible


Catalunya, 

Le père de cette indépendance Artur MAS est AFFAIBLI, au risque d'être emporté.
En un an, son parti, Convergence Démocratique de Catalogne, a perdu onze sièges au Parlement et a dû nouer un pacte avec ERC, qui apparaît aujourd'hui favori dans certains sondages.
Il a perdu le soutien des grandes entreprises qui lui ont dit tout le mal qu'elles pensent de son indépendance, alors que la moitié de leurs clients sont espagnols, 25% c'est de l'exportation qui a pour destination le reste de l'UE, et de plus l’indépendance est incompatible  avec un maintien dans l'EU et la Zone €uro !

Comment imaginer SEAT ( groupe wolksvagen) NISSAN, ALTSOM, DESIGUAL, CHUPA CHUP se couper de l'UE ?


dimanche 1 décembre 2013

Le SENAT?


Me le Sénateur-Maire Rebsamen

"Si on fait le non-cumul des mandats, supprimons le Sénat!"




Supprimons d'abord le Conseil Économique, Social et Environnemental.
Réduire notre représentation nationale et territoriale de 30%.
Appliquons le non-cumul des mandats, limitons le à un seul renouvellement et le dernier avant 70 ans .
Création d'un statut de l'élu.
Garder le Sénat élu à la proportionnelle intégrale à partir du résultat du premier tour de la présidentielle dans les circonscriptions régionales.

C'est un scandale ?



JEUDI 5 DÉCEMBRE 2013

Journées Nationale de recueillement à la mémoire de toutes les victimes civiles et militaires des conflits d’Afrique du Nord.


POURQUOI CETTE DATE DE RECUEILLEMENT N'EST RÉSERVÉE QU'AU CONFLIT D'AFRIQUE DU NORD ?

Notre ex-empire colonial n'a donc fait aucune victime civile et militaire ?

J'invite tous nos compatriotes de notre ex-empire à s'associer à cette journée de recueillement et de fraternité envers toutes ces victimes inutiles et absurdes que notre histoire a produites.