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dimanche 31 décembre 2017

le droit d'asile.


Pour Castaner,

"les conditions dans lesquelles la France accueille les réfugiés ne sont pas dignes"



"Depuis quelques jours, une 
polémique est née au sujet 
du projet de loi en préparation 
sur le droit d'asile.

Une circulaire a suscité l'émoi des 
associations.

Des tribunes ont manifesté
 leur indignation.
Des questions ont été soulevées, y 
compris au sein de la majorité.
Nous devons y répondre en 
dressant 
un constat lucide sur notre système 
d'accueil et d'intégration.

Que constatons-nous ?
Les demandes d'asile ont augmenté de 80 % depuis 2010.
Or, tous nos débats se concentrent sur une question théorique, faut-il accueillir plus ou moins de réfugiés ?
Sans aborder les conditions concrètes de cet accueil.

Là est pourtant le cœur du sujet. 
Je l'affirme avec force : les conditions dans lesquelles la France accueille aujourd'hui les demandeurs d'asile et les réfugiés ne sont pas dignes."

Le problème n° 1 c'est qu' une majorité de nos concitoyens n'en veulent en aucun cas, et pas mal d'européens le disent par la voie des urnes… Une émigration risque de devenir massive ; celle des scandinaves avec l'arrêt du golf stream (avec les températures extrêmes que vivent actuellement le Canada et les USA ) !!!
Des femmes blondes aux yeux bleus et étiquetées aux moeurs très légères vont venir affoler nos mâles nazifiés!!!

mardi 26 décembre 2017

NOUVELLE PLAIE MORTELLE DU 21ième SIECLE





LE FENTANYL

DE L’HÉROÏNE

DE SYNTHESE


Aux Etats-Unis, 
cette nouvelle héroïne 
mexicaine cause des 
ravages en particulier 
lorsqu’elle est coupée 
avec du Fentanyl, un 
opioïde de  synthèse.
Cinquante fois plus 
puissant que l’héroïne, le 
Fentanyl peut causer la 
mort par simple contact 
avec la peau.



«La Chine a durci ses contrôles à l’encontre du Fentanyl.
Les organisations mexicaines ont les moyens financiers pour le produire.
Contrairement à l’héroïne ou la cocaïne, il ne dépend pas de cycles de récoltes.
Il est entièrement fabriqué en laboratoire, à un coût inférieur, et la marge de profit est beaucoup plus élevée.
Il est trafiqué en plus petites quantités, plus faciles à dissimuler.


Les cartels mexicains vont exploiter cela au maximum. Jusqu’à présent, ils introduisent principalement le Fentanyl par les mêmes canaux que l’héroïne, dissimulée dans des véhicules qui franchissent les postes-frontières. Mais ils utilisent aussi le trafic par courrier postal, depuis la Chine et vers les Etats-Unis. 
Le Fentanyl est extrêmement compliqué à détecter. 
Les agents doivent prendre davantage de précautions pour ne pas s’exposer à son contact, qui peut être mortel.»



Quand on l’interroge sur l’impact plus mesuré du Fentanyl en Europe par rapport aux Etats-Unis, le porte-parole de la DEA s’exclame : «L’Europe et le monde entier devraient être en alerte face à cette drogue si puissante, addictive et létale !»
L’été dernier, 66 kilos de Fentanyl, un record aux Etats-Unis, ont été découverts chez un couple de quinquagénaires mexicains à New York.
Dans cette ville, les saisies de Fentanyl ont été multipliées par dix depuis l’an dernier.
Elles sont majoritairement connectées, selon la DEA, au Cartel de Sinaloa, dont la flotte serait plus importante que celle d’Aeromexico


«La drogue passe au nord par la même voie que les armes qui viennent des Etats-Unis, analyse Alberto Islas, directeur de Risk Évaluation, consultant spécialisé en sécurité et crime organisé.
La grande lacune du Mexique, ce sont les contrôles douaniers.
Ici, les gens sont tués par des armes vendues aux Etats-Unis, qui ont franchi clandestinement les postes-frontières.»
A écouter cet expert, le contrôle par les cartels des ports maritimes, également soumis à des inspections déficientes, contribue à expliquer l’essor de la production de drogues synthétiques, l’autre inquiétude des Américains.
Le cartel Jalisco Nueva Generación, issu d’une scission avec le Cartel de Sinaloa, s’est ainsi emparé d’une grande part du marché florissant des méthamphétamines.
Importés de Chine, d’Inde et d’Amérique du Sud, les précurseurs chimiques qui servent à leur fabrication entrent par le port Lázaro-Cárdenas, sur le Pacifique.
«Cette région, l’Etat du Michoacán, est truffée de laboratoires», affirme l’ex-policier fédéral.
Depuis 2012, l’armée mexicaine a confisqué plus de 90 tonnes de méthamphétamines et démantelé plus de 600 narco laboratoires à travers le pays.
«En réalité, seule une infime partie de ces centres de production est détruite par les autorités», pointe l’ancien policier, qui accuse les militaires d’être largement impliqués dans le trafic de précurseurs et dans la protection accordées à certains narco-laboratoires.

Internationalisation

Depuis la guerre contre les cartels, officiellement déclarée en 2006, des dizaines de narcotrafiquants de premier rang, outre El Chapo, ont été arrêtés.
Toutes les organisations ont été visées par ces arrestations ciblées.
Et pourtant, paradoxe supplémentaire de cette guerre qui tourne en rond, les cartels en sont sortis renforcés.
«La stratégie de la décapitation des cartels, via les arrestations de leurs leaders, n’a rien résolu», confie Martín Gabriel Barrón, de l’Institut national de sciences pénales, un centre d’études qui dépend du parquet fédéral mexicain.
Il explique : «A la fin du mandat de Calderón, en 2012, il y avait 7 cartels importants et 49 sous-groupes.
Cinq ans plus tard, il y a 9 cartels et plus de 130 sous-groupes», détaille ce spécialiste du narcotrafic.
Les arrestations ont avivé les rivalités entre les différentes factions à l’intérieur des cartels, qui se sont livrées à une guerre de succession, sans pour autant s’affaiblir.
«Ils se sont fragmentés, mais ils sont toujours aussi actifs. Ils se sont globalisés davantage», estime Martín Gabriel Barrón.
Preuve de cette internationalisation : le seul Cartel de Sinaloa est présent dans 54 pays et les Zetas ont des liens plus étroits que jamais avec la ’Ndrangheta, la mafia calabraise, qui importe la cocaïne en Europe.
Dans l’Etat du Tamaulipas (nord-est du Mexique), fief des Zetas, le capo Giulio Perrone, l’un des membres de la mafia napolitaine les plus recherchés en Italie, a d’ailleurs été interpellé en mars.
Ces dernières années, plusieurs ex-gouverneurs mexicains ont également été arrêtés et certains sont actuellement jugés aux Etats-Unis pour leur protection accordée aux cartels.
Le dernier en date, Eugenio Hernández, ex-gouverneur du Tamaulipas, a été interpellé en octobre, accusé de blanchir l’argent du crime organisé.
Parmi les cinq témoins, deux ont été assassinés, un s’est suicidé et un autre a disparu.
L’affaire des témoins liquidés est citée ces jours-ci par la presse mexicaine comme l’un des exemples macabres de la corruption, la clé du succès des cartels mexicains. La condition indispensable à la prospérité des narcos.
D'APRÈS UN TEXTE DE E STEELS de Liberation

jeudi 14 décembre 2017

MEDICAMENTS

 

Antibiotiques :

les Français, toujours de gros consommateurs!

Titre de la Dépèche de ce matin

Ne fallait-il écrire plutôt :

Les Médecins Français sont 
toujours 
d'aussi gros prescripteurs 
d'antibiotiques à leurs patients !!!

lundi 4 décembre 2017

INTERSEXE


Intersexe

une plainte contre la chirurgie

des nouveau-nés


Pour la première fois en France, 

une plainte pour mutilation a été 

déposée par une personne en 

inter sexuation.

Camille a 38 ans et il a été opéré à 
de nombreuses reprises à partir de 
sa naissance pour anomalie des 
organes génitaux.

Il revendique le droit au 
consentement et souhaite que les 
interventions chirurgicales et 
hormonales non nécessaires 
médicalement cessent.

Une option difficile à appliquer pour
les médecins dans un pays où seuls 
deux genres masculin et féminin 
sont reconnus.



De quoi s’agit-il ?
Comme environ 2% des nouveau-nés*, Camille est venu au monde en ne présentant pas l’anatomie requise pour déterminer un sexe masculin ou féminin de façon claire.
Cette situation est qualifiée médicalement de « troubles de la différentiation sexuelle » ou bien encore d’« anomalies de développement des organes génitaux ».
Il s’agit en d’autres termes de naître avec les caractéristiques féminines et masculines à la fois ou avec des caractéristiques entre les deux.
En dehors de l’hyperplasie congénitale des surrénales qui constitue une urgence vitale, la plupart des situations d’intersexuation ne relèvent pas d’une urgence médicale.
Toutefois, « les situations pour lesquelles on hésite vraiment sont rares », assure le Dr Stéphanie Rouleau, pédiatre néonatalogiste et endocrinologue au CHU d’Angers. Et dans tous les cas, « on veut bien faire, dans l’intérêt du patient ».
Chirurgie, hormones…
Il y a 15 ans, les opérations chirurgicales étaient encore systématiques. Aujourd’hui, « cela se discute davantage dans l’hyperplasie congénitale des surrénales, où on se pose à l’heure actuelle la question d’attendre la puberté pour opérer », souligne le Dr Rouleau.
Et prendre en charge de manière pluridisciplinaire pour faire au mieux.
Comme c’est le cas aux CHU d’Angers et de Nantes, où un protocole médical de prise en charge de ces situations a été rédigé en 2015.
Objectif, permettre aux médecins des autres maternités de la région d’avoir accès à des praticiens référents.
Par ailleurs, un des centres de référence des pathologies du développement sexuel à Lyon ou au Kremlin Bicêtre (Paris) est systématiquement consulté dans ces situations.
Ces spécialistes, pédiatres endocrinologues et chirurgiens notamment, tentent d’« imaginer comment la puberté de l’enfant va se dérouler et comment ses organes génitaux vont se développer ». Et surtout « si chirurgicalement on peut lui proposer un résultat satisfaisant ».
En clair, « pourra-t-il avoir des relations sexuelles, pourra-t-il avoir des enfants ? »
Le hic ? Les résultats de ces opérations ne font pas consensus.
Et les effets indésirables de chirurgies et de traitements hormonaux à vie sont loin d’être anodins. Camille opéré en 1979 rappelons-le souffre le martyre lorsqu’il urine, a des rapports sexuels… Malgré les progrès de la médecine, toute opération chirurgicale et tout traitement peuvent induire des effets indésirables, parfois irréversibles.
Ne rien faire, est-ce une option ?
« Tant qu’on rend invisibles les personnes intersexes, en considérant leur situation comme une anomalie, on sera enfermé dans la binarité homme/femme et on se permettra de les mutiler », affirme Me Benjamin Pitcho, favorable à la possibilité de déclarer un sexe neutre.
Un recours a été déposé en ce sens auprès de la Cour européenne des Droits de l’Homme. Car à l’heure actuelle en France, tout enfant né sur le territoire doit être déclaré fille ou garçon dans les 3 ans au maximum.
Pourquoi ne pas laisser les enfants nés en intersexuation grandir sans intervenir ?
Les médecins sont frileux à cette idée pour plusieurs raisons. « Envisager de ne rien faire, c’est décider que cet enfant ne sera ni un garçon ni une fille », souligne le Dr Emilie Eyssartier, chirurgien pédiatre au CHU d’Angers. « La société est ainsi faite que tout y est sexué, même les toilettes publiques. » Un changement sociétal est donc nécessaire.
Depèche 13/11/2017

La démocratie déserte les urnes






ÉLECTIONS



TERRITORIALES





EN CORSE





ABSTENTION A 50 %

dimanche 3 décembre 2017

Si on se disait franchement la vérité sur :




Cette planète de mâles en 

rut


Combien sont-ils à être exempts de 

tout délit de violence faite aux 

femmes et aux enfants ?


On nous abreuve tous les jours de statistiques 

effroyables !!!

Depuis la moitié du 19ième siècle, on a déréglé un ordre établi qui satisfaisait la société bien pensante de l'époque !!!

Toutes les familles de ce monde provincial et rural, avaient à leur disposition une jeune veuve avec enfant, une jeune femme de chambre qu'on se recommandait pour déniaiser nos jeunes mâles devenus pubères !!!

Cela était-il plus sage que le porno d'aujourd'hui ou le bordel d'antan ?

Nous sommes soumis à notre physiologie… Les mâles ont été conçus pour être en rut à la seconde et les femmes à les recevoir avec un consentement gourmand de plaisir et de délectation.

Depuis des millénaires, les femmes ont du subir le rut des hommes pas toujours d'une façon agréable … Elles le savaient depuis leur plus jeune âge, c'était dans l'ordre des choses , elles n'ont jamais eu droit à un psy.

La régulation des naissances se finissait bien souvent par des infanticides, morts-nés ou la auge à cochon (aucune déclaration de grossesse n'était enregistrée et 50 % des nourrissons ne survivaient pas au-delà de 5 ans) !!!

Combien de prisons, devrons nous ouvrir pour enfermer nos mâles ?

Et nous allons être bientôt 5 milliards D'ÊTRES HUMAINS ?

Par insémination artificielle ?