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vendredi 30 novembre 2012

les faux culs

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Pour l’accession de la Palestine au
 rang d’Etat Observateur a ONU.


138 pays ont voté pour,

9 ont voté contre,

41 ne se sont pas prononcés.

Cette nouvelle stature internationale, qui donne aux Palestiniens accès à des agences de l’ONU et des traités internationaux, constitue une victoire diplomatique majeure. 

Mais elle expose l’Autorité palestinienne à des représailles financières américaines et israéliennes. 


Hillary Clinton  a immédiatement qualifié ce vote de «contre-productif».

Les USA ont voté CONTRE!!!

mardi 27 novembre 2012

Un don de 10 € ne vous coûte que 3€40.


LES DONS
DEFISCALISES


C'EST L'ETAT QUI PAYE
ET
Cela n'est budgété nulle part




Don défiscalisé 10€ ou plus


Obtenez une réduction fiscale de 66% avec un e-reçu. Un don de 10 € ne vous coûte que 3€40.
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BERCY devrait publier chaque année le montant des déductions fiscales qu'il accorde aux fondations?
Combien et pour quel montant les fondations distribuent de reçus ?
Combien BERCY reçoit-il de reçus et pour quel montant ?
La gestion des reçus coûte de plus très chère en frais de gestion aux fondations.



66% des millions d'Euros donnés au THELETHON, CROIX ROUGE, EMMAUS, RESTO DU COEUR ,ETC, ETC par les particuliers, les entreprises et les associations sont donc un don de l'ETAT.

dimanche 25 novembre 2012

L'indépendance Catalane est irréaliste


Cette indépendance, c'est d'être exclus de l'UE et de la zone €uro.

Intégrer l'UE n'est pas si simple. Le traité européen stipule que chacun des vingt-sept états membres peut opposer son veto à l'adhésion d'un candidat.

L’Espagne fera à juste titre usage du sien, la France de même, pour éviter une revendication de demande de rattachement des PO et de l’Ariège, l'Italie s'y ralliera pour se protéger des revendications de sa Padanie, et la Belgique idem.

De plus 50% des Catalans sont des fils ou petits fils de «Charnegos»(immigrés castillans traités comme des sous hommes durant des décennies par les catalans) qui devront donc se munir d'un passeport et d'€ pour aller se recueillir sur la tombe de leurs parents au «Pueblo» ?

Pourtant ces catalans votent à 50% pour cette coalition capitalo-libéral débridée populiste et xénophobe , cette xénophobie qu'ont subi leurs pères ou grand-pères.

«Chaque année, la Catalogne envoie 16 milliards d'euros à Madrid qu'elle ne revoit jamais».

Et pour cause la Catalogne n'a pas de Ministère des armées, des Affaires Étrangères, de banque centrale, de douane et de police des frontières.

50% de ses entreprises et sociétés sont des multinationales, combien de brevets sont déposés au nom de chercheurs Catalans ?

mercredi 21 novembre 2012

Genocide méconnu


 

Un siècle de génocide des Amérindiens Canadiens

passe par la destruction et l’exploitation de leurs enfants par des institutions religieuses




http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/canada-le-massacre-du-peuple-126020

mardi 20 novembre 2012

PS du tarn


BRAVO a Samuel CEBE

qui redevient

le N° 1 du PS du Tarn


Pourquoi les résultat du 15 novembre 2012 du gagnant ne sont pas publié sur le blog?

Que doit-on penser des 1279 inscrits, si on enlève les élus, combien sommes nous?

Alors que 72 627 tarnais avaient votés pour François HOLLANDE.


Le Camarade Samuel nous promet:

Je ne serai pas le 1er Fédéral d'un clan.

Je serai le 1er Fédéral qui rassemblera toutes les énergies, tous les talents Socialistes du Tarn .

Je serai un 1er Fédéral qui ouvrira les portes du Parti Socialiste.

Je veux être le 1er Fédéral qui (dira) «exigera» des élu-e-s tarnais: «de venir débattre des projets avec les militant-e-s régulièrement.

vendredi 16 novembre 2012

Le 15 novembre 2012


la France va se crasher pour «The Economist»




Nous sommes une bombe à retardement au coeur de l'Europe soit disant .Se Media Anglais Capitalo-Libéral Débridé devant l'éternel tire la sonnette d'alarme sur la situation de la France, tant sur le plan économique que sur le plan politique.

En oubliant que la place financière de Londres est en pleine dépression, avec des scandales a répétitions, des suppressions de milliers de postes dans le secteur de la bancaire et financier d'investissement qui est en plein marasme. Le tour de vis réglementaire est en cours. C'est la fin de l'age d'or de la CITY.

jeudi 15 novembre 2012

Un dementi cinglant


Une étude réfute les affirmations de la Droite Populaire et du FN:

L'immigration ne coûte rien a la France, elle lui rapporte 3.86Mds € par an.

L'Express

lundi 12 novembre 2012

Les nantis de la médecine

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 Sont en grève

Pour mémoire, le revenu net moyen avant impôt d'un médecin en France va de 7464 € pour un médecin généraliste à 210000 € pour un chirurgien, la moyenne est de 139 000 € pour les spécialistes. Le tout payé par une contribution obligatoire payé par tous les SALARIES/CONSOMMATEURS de France (coût 1Mds € par jour)
Le problème est que le revenu est à l'acte.

Un médecin qui fait bien son travail voit 3 malades à l'heure en moyenne.....

Alors comment justifier 70 consultations de cancérologie en une après midi pour un chef de service d'un centre anticancéreux; comment justifier 10 à 12 consultations de l'heure pour un médecin généraliste.

Ces abus sont plus fréquents qu'il n'y paraît, ils sont identifiables sur le SNIR des médecins et ils desservent gravement une profession qui globalement est compétente et engagée!

samedi 10 novembre 2012

BANQUES


 Bâle III : Qui va appliquer la nouvelle réglementation au 1er janvier




les banques ont besoin de 374 milliards d'euros



 

 


anti-rapport Gallois


D’Attac et de la fondation Copernic

 

"En finir avec la compétitivité". Tel est l'objectif poursuivi par sept militants d'Attac et de la fondation Copernic, économistes pour la plupart, qui, dans une étude de 27 pages, critiquent les principaux points du rapport de Louis Gallois sur la compétitivité et dénoncent le "triple ralliement" du pacte du gouvernement "aux dogmes libéraux : à celui des salaires et des cotisations sociales comme cause de la désindustrialisation et du chômage, à celui de la nécessité de la baisse des dépenses publiques et à celui de la TVA antisociale".
 
"Un tel pacte faustien, par lequel la gauche vend sa raison d'être, ne donne hélas rien en échange", assurent ensemble Thomas Coutrot, Jean-Marie Harribey, Norbert Holcblat, Michel Husson, Pierre Khalfa, Jacques Rigaudiat et Stéphanie Treillet. La tonalité générale de leurs travaux est donnée, et elle n'est guère surprenante, compte tenu de l'appartenance de la majorité de ces auteurs à la mouvance altermondialiste ou anti-libérale.

"UN MARRONNIER"
Leur étude mérite qu'on s'y attarde. Elle note d'abord et à juste titre que le thème de la compétitivité est "un marronnier des débats de politique économique"et qu'il est difficile d'en proposer une définition claire et admise par tous, "sinon sous une forme tellement vague qu'elle se prête à toutes les interprétations".

Le diagnostic du rapport Gallois sur l'état de l'industrie française, sur son décrochage et sur son déficit d'innovation est partagé. En revanche, Attac et la Fondation Copernic apportent un éclairage différent sur les causes des faiblesses industrielles françaises : ils contestent l'argument patronal selon lequel le niveau historiquement bas du taux de marge des entreprises empêcherait celles-ci d'investir dans l'innovation et font observer que, dans les années 1990, ce taux de marge avait augmenté mais que l'effort en recherche et développement (R&D) était resté globalement stable.

LOGIQUE FINANCIÈRE
Constatant que la part des revenus nets distribués par les sociétés non financières en 2011 a atteint 9 % de leur valeur ajoutée, soit le point le plus haut depuis la seconde guerre mondiale, les auteurs en concluent que les entreprises ont choisi de continuer à augmenter les dividendes plutôt que d'investir dans l'innovation. Ils font aussi observer que les petites et moyennes entreprises (PME) et les entreprises de taille intermédiaire (ETI) françaises sont asservies à la logique financière des grandes groupes, contrairement à leurs homologues allemandes ou italiennes, et que les exportations françaises sont plus sensibles que les exportations allemandes au taux de change de l'euro.

L'alourdissement du "coût du travail" n'est pas la cause des pertes de parts de marché françaises. Depuis dix ans, les coûts salariaux unitaires français (salaire par unité produite) ont évolué comme la moyenne européenne, rappellent nos sept auteurs en faisant remarquer que "la mondialisation près de chez nous brouille les cartes". Et de rappeler que l'amélioration de la compétitivité-prix de l'Allemagne ne s'explique pas seulement par le gel des salaires mais aussi par la délocalisation de segments productifs entiers vers les pays d'Europe centrale et orientale (PECO).

La contribution des grandes entreprises "nationales" aux performances de leur pays de rattachement peut se dégrader à partir du moment où elles réalisent une partie croissante de leur chiffre d'affaires à l'étranger (cf Renault et  la Roumanie), ce phénomène pouvant être amplifié par l'utilisation des prix de transfert entre sociétés membres d'un même groupe de manière à localiser le bénéfice final dans un pays à fiscalité avantageuse.

"VOIE SANS ISSUE"
Plutôt que de se focaliser sur le coût du travail, mieux vaut s'intéresser à celui du capital. "En l'espace de douze ans, la part des revenus distribués par les sociétés non financières a pratiquement doublé par rapport à leur excédent brut d'exploitation (EBE), et presque doublé par rapport à leur valeur ajoutée brute (VAB), déjouant donc la coupure avant/après la crise, au point d'absorber plus des 4/5 de leur EBE", écrivent les auteurs. "Crise ou pas crise, la part de plus en plus lourde que les entreprises choisissent de distribuer aux propriétaires du capital affaiblit leur capacité à faire face à tous les aspects de la compétitivité."
On ne sera pas surpris qu'Attac et la Fondation Copernic préconisent d'abandonner la logique même de la compétitivité, cette "voie sans issue, économiquement absurde et socialement destructrice",  et proposent un autre modèle de développement qui rompt avec le consumérisme.



C'est magnifique, mais nous sommes a la merci du capitalo-liberalisme débridé qui fait la pluie et le beau temps aujourd'hui. Il faut donc convaincre 50% des pays du monde que vous avez raison !!!!



jeudi 8 novembre 2012

Des lendemains d'OBAMA qui déchantent




LA DETTE US représente aujourd’hui la somme astronomique de 16 000 Mds $ est la plus grande menace pour toute les économies du monde.
 
C'est le mouvement populo-fascisant des Tea Parties du Parti Républicains US qui a mobilisé les anti-Obama pour pousser leurs candidats aux élections de mi-mandat à l’automne 2010, ils ont toujours a ce jour la majorité à la Chambre des représentants. 
 
Mais la bataille de la dette qui doit être résolu avant l' investiture , elle est devenu une obsession républicaine, et si il n'y a pas un accord,
en vertu d'une loi votée en 2011, 200 Mds $ de réductions automatiques de dépenses publiques et 400 Mds $ d'augmentations automatiques d'impôts vont intervenir.

Dans son programme, Barack Obama promettait de réduire la dette de 4 000 Mds $ dans les quatre ans à venir, dont 600 Mds $ pour 2013, en coupant dans certains programmes gouvernementaux, mais aussi en augmentant les impôts pour les plus riches et en investissant dans de nouveaux projets d’infrastructure. «Je ne vois pas pourquoi ceux qui volent en jet privé ne pourraient pas faire un petit effort supplémentaire», a-t-il maintes fois répété durant cette campagne. Mitt Romney, de son côté, refusait toute hausse d’impôts déclarée, et assure qu’il allait replacer le budget américain sur la route de l’équilibre en supprimant certaines exemptions fiscales. Il a toutefois pris bien soin de ne jamais préciser son projet.
 
Et tous les experts estimaient que les deux candidats, dans le contexte économique actuel, n’avaient pas les moyens de remplir leurs objectifs.
De l'avis général, ce scénario catastrophe, délibérément conçu pour forcer les deux partis à négocier.
Un compromis en vue de réduire durablement le déficit budgétaire des États-Unis.
Cette perspective déprime depuis un an l'investissement des entreprises, décourage l'embauche et hante les bourses et les gouvernants du monde entier.
Du reste, à l'ouverture des cotations mercredi sur les marchés américains, les indices boursiers plongeaient.
Les agences de notation ont toutes placé la dette fédérale sous surveillance avec implication négative depuis des mois. Le risque de dégradation des États-Unis par Moody's et Fitch Investors Service grandit à mesure que le blocage politique à Washington s'éternise.
Leur consœur Standard & Poor's est la seule pour l'instant à avoir retiré aux obligations de l'Oncle Sam leur notation AAA, réservée aux emprunteurs de meilleur standing. 
 

Le déficit budgétaire américain a dépassé 7% du PIB en 2012

 

C'est donc les députés du Tea Party du Parti Républicain qui ont l'avenir économique et sociale de la planète entre leur mains, leur refus plongerait l'économie américaine et le monde en récession l'an prochain.