Powered By Blogger

samedi 28 octobre 2017

ETUDES DE SANTE



Enfin une solution pour les 
études de santé ?

Alors que le système de 
recrutement des futurs médecins 
est largement décrié, la récente 
concertation sur l'accès à 
l'université est venue asseoir les 
pistes qui permettraient de mettre 
fin à l'immense gâchis en Paces,
la «première année commune aux 
études de santé».

Si le débat autour de la sélection à l'université reste vif, résistances syndicales obligent, c'est en médecine que l'idée gagne le plus de terrain.
Le groupe de travail consacré à l'accès aux études de santé, l'un des onze groupes de la concertation est en effet tombé d'accord sur la mise en place de «prérequis», validés par un mooc (cours en ligne), à l'adresse des lycéens souhaitant embrasser la carrière.
«Un moyen de vérifier qu'ils n'ont pas une représentation fantasmatique du métier», explique le Pr Jean-Paul Saint-André...
Un aspect du problème dont on ne parle peu est l'inadéquation du PACES à ce que l'on attend d'un futur médecin: Sélectionner sur des centaines de QCM portant essentiellement sur la physique, les maths et la chimie .

Pour des praticiens dont l'humanisme doit être une des composantes essentielles de leur metier !!!,
QUELLE BETISE !

lundi 23 octobre 2017

Le Code du Travail Irlandais ne doit pas peser bien lourd


Ryanair :

«Pendant le vol, on dort dans le cockpit»


Usés par des conditions de travail exténuantes, les hôtesses et les stewards de la compagnie low-cost s’activent pour créer le premier syndicat de l’entreprise.

Les pilotes, eux, démissionnent en série.

L’adresse est arrivée au dernier moment via la messagerie What’s App. Une modeste résidence située à proximité des pistes d’un aéroport belge. Pas de nom qui permettrait de sonner à l’interphone, mais un regard attentif derrière une fenêtre. Entrer en contact avec des hôtesses et des stewards en fonction chez Ryanair exige mille précautions. «N’oubliez pas de changer nos prénoms et ne donnez pas trop de détails sur notre parcours au sein de la compagnie ni l’endroit précis où nous sommes basés», demandent, en préambule, Peter et Sophie.
Ils veulent éviter les convocations disciplinaires au siège de Ryanair, à Dublin, où se déroulent les «recadrages» et le rappel à la clause de leur contrat qui interdit tout contact avec des médias.
Pourtant, ces deux membres d’équipage qui totalisent plus d’une décennie d’expérience au sein du transporteur irlandais, ont bien plus que du vague à l’âme. Les récentes annulations en série de vols les ont décidés à parler. Etape sans doute préliminaire à la création de sections syndicales, ce qui serait une première pour cette entreprise dont le PDG, Michael O’Leary, exècre toute forme de représentation des salariés.

«Pas de bureau»

La compagnie aérienne qu’il dirige est devenue, en vingt ans, la plus rentable d’Europe. En 2016, ses 427 avions ont transporté 120 millions de passagers et dégagé 1,3 milliard d’euros de bénéfices pour 6,6 milliards de chiffre d’affaires. Le climat social, en revanche, ne reflète pas vraiment ces bons résultats. Les hôtesses et stewards, comme les pilotes, s’élèvent à l’unisson pour demander d’autres conditions de travail.
«Une journée classique commence par un réveil à 4 heures. Je dois être à l’aéroport à 5 h 35 pour le briefing d’avant vol. Habituellement, il se déroule dans une salle spécialement dédiée, mais à l’aéroport de Bruxelles, ça se passe dans l’avion. Officiellement, la compagnie n’a pas de bureaux dans la capitale belge. Nous sommes opérationnels à 6 heures et nous avons alors vingt-cinq minutes pour embarquer 189 passagers. Les moteurs commencent à tourner à 6 h 30 et c’est à partir de ce moment seulement, que nous commençons à être payés. De la même manière, dès que les moteurs sont arrêtés, nous ne sommes plus rémunérés. Deux allers-retours dans la journée, cela représente quatre vols et douze heures de travail, pour lesquelles nous ne serons payés que 8 h 30. Et si jamais il y a un problème technique, le temps passé à attendre dans l’avion n’est pas comptabilisé, pas plus que si nous rapatrions un avion à vide après une avarie», détaille Peter. Lui, comme ses collègues sont payés chaque mois selon le temps de vol effectué. A 18 euros bruts, pour 75 heures, une hôtesse ou un steward perçoit 1 300 euros par mois.
Bien que résidant toute l’année en Belgique, Peter comme Sophie travaillent avec des contrats de droit irlandais. Forts de leur statut d’«anciens», ils ont le privilège d’être directement salariés de la compagnie Ryanair. En revanche, la majorité de leurs collègues sont employés par une société de mise à disposition de personnel du nom de Crewlink, également immatriculée en Irlande, qui refacture ses services à la compagnie. Interrogée par Libération, Ryanair indique que «les équipages peuvent gagner jusqu’à 40 000 euros et sont rémunérés pour leurs astreintes», sans fournir plus de précisions. Cette somme correspond en réalité au gain maximal d’un superviseur, qui encadre trois hôtesses et stewards, tout en bénéficiant d’un contrat Ryanair et non Crewlink.
Au quotidien, les arrêts maladie sont vécus avec une réelle appréhension : «La réglementation est claire. Lorsque nous sommes souffrants, nous ne devons pas voler, spécialement en cas de sinusite ou de rhume car nous risquons de nous abîmer un tympan, compte tenu de la pressurisation de l’avion en altitude. Pourtant, certains préfèrent travailler tout en étant malades, pour éviter de devoir fournir des explications.» Lesquelles se déroulent à Dublin soit un aller-retour et une grosse demi-journée mobilisée, sans pour autant être rémunéré.

«Vous ne volez pas, vous n’êtes pas payés»

Les hôtesses et stewards employés par la société intermédiaire Crewlink sont encore moins bien lotis en cas de pépin de santé : «Le principe est que lorsque vous ne volez pas, vous n’êtes pas payé», rappelle Peter. A bord des avions de Ryanair, les personnels de la compagnie sont multitâches. Durant les vingt-cinq minutes que dure une escale, ils doivent débarquer en moyenne 180 passagers, en réembarquer autant et faire le ménage entre-temps. Le placement des voyageurs est devenu un vrai casse-tête depuis que l’attribution de sièges est devenue une option payante. Le logiciel de la compagnie ne place pas systématiquement les familles ensemble. «Nous devons déployer des trésors de diplomatie pour essayer de regrouper parents et enfants en déplaçant d’autres passagers», soupire Sophie.
En vol, hôtesses et stewards se transforment en super-vendeurs de boissons, plateaux-repas, parfums et autres billets de loterie à 2 euros. Tous les six mois, ils reçoivent un compte rendu de leurs performances commerciales, que Libération a pu consulter. Dans ce document, les résultats individuels sont comparés au niveau de vente moyen réalisé dans la compagnie et gare à celui qui demeure à la traîne. A l’image de ce qui se pratiquait dans certaines écoles au siècle dernier, des séances de bachotage sont organisées. «Au retour d’un vol, le chef de secteur peut nous demander de rester à l’aéroport et nous tendre un document à lire pour bien mémoriser les dernières offres commerciales», raconte Sophie. Ryanair a même inventé l’interrogation surprise par téléphone. «Il m’est arrivé d’être appelée durant un jour de congés, afin que je récite la liste de promotions. J’étais en train de faire des courses dans un centre commercial», se souvient-elle.
Ryanair, l’une des premières compagnies aériennes à avoir mis en œuvre le modèle low-cost, mise sur des tarifs particulièrement bas. Le prix moyen d’un billet ne dépasse pas 41 euros. En contrepartie, les recettes annexes sont devenues une obsession pour la direction. Les hôtesses et stewards subissent une pression permanente pour inciter les passagers à sortir leur carte de crédit. «On ne peut quand même pas réveiller les passagers en train de dormir quand nous avons décollé à 6 h 30, pour les forcer à acheter un plateau petit-déjeuner», peste Peter, encore énervé par un vol vers le Maroc sur lequel la quasi-totalité des sandwichs disponibles étaient… au jambon. «Et après, la direction s’étonne qu’ils ne soient pas vendus.»

Turnover

La grogne est toute aussi perceptible chez les pilotes de Ryanair.
Pourtant, cette corporation est habituellement considérée comme cogérante d’une compagnie aérienne, en raison de son pouvoir de blocage lorsqu’elle se met en grève.
A la différence de leurs confrères des autres compagnies toujours prêts à saisir le passage d’un micro pour affronter la direction, ceux de Ryanair restent d’une absolue discrétion. Rendez-vous est pris dans la partie la plus recluse du lobby d’un hôtel.
Deux commandants de bord expérimentés ont accepté de se confier, à condition que l’on préserve leur anonymat.
Ils surveillent les allées et venues.
L’établissement est situé à quelques kilomètres de l’aéroport de Charleroi et la conversation s’interrompt dès lors que l’uniforme galonné d’un de leurs confrères est repéré.
«Nous n’avons pas tant besoin d’argent que de conditions de travail décentes», pose d’emblée Jean-François, qui vient de donner sa démission pour rejoindre une compagnie aérienne française.
Son collègue Eric est, lui, en «recherche active» pour quitter Ryanair.
«Ces derniers temps, nous n’arrivons plus à organiser des pots de départ tellement le turnover est important», raconte-t-il d’un ton désabusé.
«Nous sommes rémunérés à l’heure de vol. Les tarifs varient de 55 à 150 euros de l’heure suivant l’ancienneté et la qualification», explique Jean-François.
En échange, ils doivent prendre en charge tous les frais inhérents à leur fonction.
«Nous payons nos badges d’accès à l’aéroport, le parking, l’assurance perte de licence, la visite médicale obligatoire, les uniformes et même la veste de sécurité avec laquelle nous effectuons le tour de l’avion avant de décoller.
Comme Ryanair fait des économies sur l’assistance au sol, nous devons nous-mêmes monter sur une échelle et ouvrir les vannes des réservoirs pour l’approvisionnement en kérosène», détaille Eric.
A leur entrée dans la compagnie, les «jeunes» recrues doivent effectuer douze vols accompagnés par un instructeur, pour lesquels ils ne sont pas payés.
Beaucoup ont signé avec la compagnie irlandaise en raison de la stabilité que leur procure cet emploi.
Ils sont de retour chaque soir et peuvent avoir une vie de famille.
En contrepartie, ils effectuent cinq jours de travail suivis de trois jours de repos ce qui permet à Ryanair d’avoir les pilotes les plus productifs d’Europe, avec près de 900 heures par an le plafond maximum autorisé quand leurs collègues d’Air France arrivent rarement à 700 heures.
D’où quelques coups de pompes à 8 000 mètres d’altitude.
«Dès le quatrième jour, on est fatigué. Résultat, on dort dans le cockpit durant le vol, même si nous n’avons pas le droit de le faire quand le temps de trajet est inférieur à deux heures vingt-cinq», confie Eric.
Bienvenue à bord pour un vol a 41€
D'apres un texte de F BOUAIZE

dimanche 22 octobre 2017

Aucune déception majeur




Si on refaisait la 

présidentielle?

Comme en en 2012, l’Ifop 

a interrogé un échantillon 

de Français pour leur 

demander, six mois après 

l’élection, quel serait leur 

choix.

si le scrutin se tenait cette semaine,
Emmanuel MACRON
serait mieux élu qu’au printemps.

Avec la même offre politique qu’au premier tour, explique Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop, nous obtenons des rapports de force politiques complémentaire a des indices de popularité classiques".

Marine Le Pen reste quasiment à son niveau du premier tour

Arrivé en tête le 23 avril avec 24 % des suffrages exprimés, il enregistre une hausse de 4 points et creuse l’écart avec Marine Le Pen (21,5 %).
La dirigeante du FN restant quasiment à son niveau du premier tour (21,3 %), le chef de l’État est le seul des principaux candidats à progresser.
Certes, l’amélioration de son score ne vaut pas approbation de son action ; mais elle acte que ses débuts ne suscitent aucune déception majeur parmi les électeurs (six mois après l’élection de 2012, François Hollande était, lui, devancé par Nicolas Sarkozy…).
D'apres un sondage payé par le JDD

vendredi 20 octobre 2017

Catalogne ça se corse!!!



D’ores et déjà,
 

l’économie de la Catalogne


pâtit du conflit. 
 

L’activité touristique dans la région 

a chuté de 15 % depuis le début de 

la crise, une baisse qui atteint 20 % 

pour les réservations d’hôtels.

Les ventes d’automobiles ont baissé 

de 30 %.

Les commerces et la restauration 

sont inquiets pour la période de 

Noël.

Environ 800 entreprises ont délocalisé leur siège social depuis le 2  octobre ou annoncé leur délocalisation.

Parmi elles, des banques importantes Sabadell, CaixaBank des banques catalanes, des géants énergétiques, d’infrastructures ou éditoriaux Gas Natural, Abertis, Planeta le goncourt espagnole !!!

Région la plus dynamique d’Espagne, mais aussi la plus endettée elle doit 52 milliards d’euros à Madrid, elle a toutes UE contre elle.
La Catalogne enregistre de très inquiétantes prévisions économiques.

Et, par conséquent, l’Espagne.

Selon l’administration Rajoy, la croissance devra être revue à la baisse en raison des effets du conflit catalan, de 2,6 % à 2,3 % soit quelque 13 milliards d’euros.

Et le ministre de l’économie espagnol Luis de Guindos, jeudi, d’en rajouter dans le catastrophisme : «Ce que nous voyons en Catalogne n’est qu’un apéritif.»

Une sécession de la ­Catalogne aurait des effets plus lourds et immédiats que le divorce négocié aujourd'hui par le Royaume-Uni dans le cadre du Brexit.
C'est l'éléphant qui s'invite au 
sommet. 
À une crise catalane de plus en plus pesante, les vingt-sept partenaires de UE et Mariano Rajoy ont plébiscité jeudi un appel à l'unité espagnole et au dialogue politique qu'ils martèlent depuis le «référendum» indépendantiste début octobre.
Mais la confrontation qui se profile fait naître de nouvelles dissonances dans l'UE.
Elle donne le vertige à tous ceux qui s'alarment d'un divorce autrement plus brutal que le Brexit.
«Je condamne toutes les formes de violence et je plaide pour qu'il y ait un dialogue afin de trouver une solution politique»
Charles Michel, premier ministre belge
Angela Merkel et Emmanuel Macron ont affiché un soutien sans faille au gouvernement espagnol, en arrivant à Bruxelles.

dimanche 15 octobre 2017

Un peuple millénaire victime d'avoir assasiné un futur dieu




Une haine nourrie depuis des siècles et qui perdure dans le cerveau d'une minorité embrumée


Cela ne vaut pas ces mots 
transcrits 
dans un journal national

Vous, les juifs, vous êtes riches! Nous, on prend aux riches pour donner aux pauvres !
C'est ancré chez tous les chrétiens du monde !

Certains jeunes Blackos n'aiment pas les juifs.
Et cela depuis qu'ils côtoient des Chrétiens et depuis 1947 des Musulmans !

Ce sont les nouveaux barbares… !
Nous les avons tous conçu, involontairement de notre plein grée !

Ils nous ont même dit qu'on avait pris leur argent, celui des défavorisés !
C'est Robin des Bois et Capital de Karl MARX !!!

S'ils savaient combien il y a de juifs qui vivent dans la précarité en France, ils seraient époustouflés !
Et pour constater le manque de solidarité et d’empathie des juifs pour leurs congénères...
D’après un texte de F Ploquin
 

 

jeudi 12 octobre 2017

Un parquet EU en 2020



Adoption définitive de EU

Pour un parquet européen


Les Ministres de la Justice de 

l'Union Européenne

ont entériné définitivement 

aujourd'hui la création 

d'un parquet européen 
pour 2020,

auquel participeront 20 États 

membres,

dont la France et l'Allemagne.


Cette nouvelle instance, à laquelle le Parlement européen a donné son feu vert le 5 octobre , ne sera dans un premier temps compétente que pour les infractions portant atteinte aux intérêts financiers de l'Union européenne (fraudes à la TVA à l'échelle de l'UE, détournements de subventions, corruption de fonctionnaires européens ...).

Dans son discours sur l'Europe, le 26 septembre, Emmanuel Macron, a souhaité l'institution d'un parquet européen compétent dans la lutte contre la criminalité organisée et le terrorisme.
Le ministère français de la Justice n'en a pas moins salué une "avancée considérable" et fait valoir que la compétence de la nouvelle instance "pourra être étendue à l'avenir à la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée".
Cette nouvelle institution judiciaire aura son siège à Luxembourg, comme la Cour de justice européenne, et à sa tête un chef de parquet assisté de deux adjoints.
Elle commencera à fonctionner à la fin de l'année 2020. Elle sera composée d'un procureur par Etat et de plusieurs procureurs européens délégués dans chacun d'eux, chargés de la conduite des enquettes.

mardi 3 octobre 2017

Réponse d'un roi aux apprentis sorciers de catalogne





Le Roi d'ESPAGNE


a déclaré que l’État devait 


d'assurer l'ordre 


constitutionnelle


face aux dirigeants catalans qui  

«prétendent déclarer illégalement 

l'indépendance».

Dans une charge cinglante, Felipe 

VI a accusé les dirigeants catalans 

de s'être placés «en marge du droit 

et de la démocratie» en organisant 

le référendum de dimanche.


Avec leur conduite irresponsable,

 ils peuvent même mettre en 

danger la  stabilité de la Catalogne 

et de toute l'Espagne
 
a estimé le souverain.


Tandis que 700 000 personnes manifestent à 

Barcelone contre les violences policières lors 

d'un référendum interdit !!!

Dans une interview à la BBC diffusée 

mercredi, le Président de la Catalogne a lui 

assuré qu'il s'apprêtait à déclarer 

l'indépendance probablement «à la fin de la 

semaine» «après le décompte des résultats 

officiels».

Le Parlement européen devait aujourd'hui débattre en urgence de cette crise mercredi.