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vendredi 24 août 2018

Chimères de prétentieux




Des Administrations et 


des Entreprises


vont rendre certaines


Vaccinations obligatoires 


sur des postes de travail.


Le refus de vaccinations pourrait- il 

priver des français de la couverture 

SECU et d’élever leurs enfants ?



l’article L3116-4 du code de la santé publique, selon laquelle « le refus de se soumettre ou de soumettre ceux sur lesquels on exerce l’autorité parentale ou dont on assure la tutelle aux obligations de vaccination (…) sont punis de six mois d’emprisonnement et de 3 750 euros d’amende. »

Un autre texte, qui existe déjà, pourrait néanmoins s’appliquer aux parents qui ne vaccineraient pas leurs enfants dans certains cas.

Il s’agit de l’article 227-17 du code pénal, qui punit de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende « le fait, par le père ou la mère, de se soustraire, sans motif légitime, à ses obligations légales au point de compromettre la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant mineur ».

Des textes très rarement appliqués dans les faits : Pourquoi ?

mardi 14 août 2018

Qui trinque



La semaine de quatre 


jours ?

Est-ce bien raisonnable 

Monsieur Blanquer ?


Alors que le ministre de l’Éducation veut réformer l'école à la lumière des connaissances scientifiques, il semble ignorer nombres d'études qui ont prouvé que l'on apprend mieux le matin.

Pourquoi alors envisager la semaine de quatre jours ?

Pourtant, le 27 juin 2017, à peine installé, celui-ci publie un décret qui laisse «la main» aux maires de décider ce que sera la semaine à l’école des enfants de leurs communes. C’était ainsi, de manière cynique, échapper à ses propres responsabilités et organiser sciemment les conflits à venir entre tous les acteurs éducatifs. C’était de manière volontaire déstructurer une politique éducative nationale pour éviter d’assumer la volonté pourtant manifeste de supprimer la réforme des «rythmes éducatifs».



On lit ainsi dans ce décret autorisant la semaine de quatre jours que le directeur académique des services de l’Éducation nationale (Dasen) chargé des écoles et des collèges doit vérifier que «l’organisation envisagée permet de garantir la régularité et la continuité des temps d’apprentissage» !
Que cela peut se concevoir dans une semaine où l’enfant aura des apprentissages deux jours, une journée sans, puis à nouveau deux jours et deux jours sans, ne manque pas d’étonner.
C’est le même ministre qui peut dire en présentant les réflexions à mener sur les vacances, «quatre jours n’est pas mieux que quatre et demi et quatre et demi n’est pas mieux que quatre», «ce qui compte c’est de s’intéresser à ce qui se passe pendant les quatre jours ou pendant les quatre jours et demi et, au-delà de ça, à ce qui se passe pendant les activités périscolaires».

La notion de «surmenage intellectuel»




Pourtant les études scientifiques existent bel et bien, menées depuis longtemps par des psychologues, pédagogues ou médecins.
Dès 1882, Alfred Binet, psychologue connu pour avoir créé la première échelle de développement mental, analyse avec Victor Henri la notion de «surmenage intellectuel» et les conditions de sa production (1) : ils ont mis en place des protocoles pour étudier l’effet de la fatigue sur les diverses fonctions physiologiques et les conséquences psychologiques du travail intellectuel.
Ceci parallèlement à des recherches similaires réalisées par Sikorsky en Russie (2) et Friedriech en Allemagne (3).
Tous obtiennent les mêmes résultats, à savoir que c’est toujours le matin que dictées et opérations complexes sont le mieux réussies, rapidement et sans erreur.
Binet disait aux enseignants, «faites bénéficier vos écoliers de la clarté mentale de la matinée». Près de cent ans plus tard, Pierre Magnin, médecin, recteur de l’académie de Besançon rappelle, en 1993 (4), que «les observations ont montré que la période propice de la matinée s’imposait pour être la plus caractéristique et la plus synchronisée : celle de l’après-midi apparaissant moins intense et moins vigoureuse». Il montre que même en respectant le creux méridien de l’après-midi comme on le doit (repos, sieste, relaxation) «les performances qu’elle permet d’atteindre ou de réaliser restent chez la plupart des individus inférieures à celles de la matinée. La disponibilité́ cérébrale a évolué́».
Le matin est donc bien connu scientifiquement comme étant le meilleur moment pour réaliser avec efficience tous les apprentissages, ce qu’ont bien compris tous les autres pays du monde qui fonctionnent sur 4,5 jours, 5 ou 6 jours. Jamais sur quatre. 
Il est vrai que cela nécessite de changer ses pratiques d’enseignement, la gestion d’une longue matinée n’est pas celle d’une courte, nombre d’inspecteurs de l’Education nationale l’ont entendu.
Quel est l’objectif d’une réforme? D’organiser une plus-value éducative plutôt que de remettre en question celle qui précédait, pour des raisons dogmatiques. D’autre part les expériences menées sur quatre jours à partir de 1991 ont été évaluées. 
Si, selon Desclaux et Desdouet (1994) la semaine de quatre jours n’a pas d’incidence particulière sur les performances intellectuelles d’enfants vivant dans un environnement socio-culturel dit «normal», il en va tout autrement dans les ZEP des zones sensibles.
Au CP, entre autres, les élèves sont moins vigilants, ont plus de comportements scolaires inadaptés et dorment moins que ceux présents quatre jours et demi par semaine. Veut-on vraiment aider chaque enfant à réussir ?

Projets éducatifs et partenariats

Une vraie innovation, que ne cesse d’appeler de ses vœux le ministre, serait de modifier les terminologies franco-françaises qui ne font que renforcer le scolaro-centrisme de la vie des enfants. 
Le temps scolaire ne représente que moins de 10% du temps de vie global d’un enfant, cessons donc de parler de rythmes «scolaires», les rythmes ayant d’ailleurs une définition qu’il serait bon de faire connaître, et parlons des temps de l’enfant et de leur aménagement. 
100% de ses temps de vie sont alors considérés, on peut s’intéresser à leurs contenus, ce qui incite évidemment à créer des partenariats pour que la coéducation devienne réalité.
Car chaque acteur de la communauté éducative, de l’enseignant au parent en passant par tous les intervenants autres, a une responsabilité dans la bonne gestion des temps de l’enfant.
C’était le grand mérite des projets éducatifs territoriaux (PEDT) qui ont permis de construire localement des partenariats formidables et d’ouvrir l’école sur les parents mais aussi sur les communes et les associations d’éducation populaire.
S’interroger sur ce qui fait éducation chez l’enfant est dès lors nécessaire, car éduquer n’est pas le propre de l’école.
C’était exactement ce qu’incitait à faire les PEDT.
On les supprime avant de leur avoir permis de prendre leur vitesse de croisière.
Dans le département du Nord par exemple, deux villes de plus de 20 000 habitants garderont à la rentrée les «rythmes éducatifs» intégrés à leur projet éducatif global : Lomme et Grande-Synthe. 
C’est aussi le cas de beaucoup de grandes villes éducatrices, de la communauté de communes du Pays fléchois, de Tarnos, de l’Ariège… qui modifient leur organisation pour à la fois rester à 4,5 jours mais mieux encore respecter les rythmes des enfants.
L’histoire nous montre que la France ne cesse de remettre à plat ses «rythmes scolaires», confondant ainsi l’enfant avec une balle de ping-pong que se renvoient les ministres successifs.
N’est-il pas urgent de trouver une organisation capable d’être pérennisée et d’accorder ainsi aux enfants une stabilité au long de son parcours scolaire ?
Un enfant né en 2008, rentré en petite section en 2011, pourra connaître deux changements d’organisation du temps scolaire avant sa sortie de CM2. Pour revenir à 4,5 jours en entrant en 6e. Est-ce raisonnable monsieur Blanquer ? Vraiment ?



lundi 13 août 2018

FACTURE




La catalogne paie très 

cher ses velléités 

d’indépendance

Cet été les plages catalanes ont 

perdu toute leur clientèle 

castillane, 

10 % des établissements 

commerciaux n’ont pas trouvée 

preneurs,  les hotels bradent en 

plein mois d’août des séjours à 

350€ 

par personne, la semaine pension 

complète!!!


Les catalans sont bien présents sur les 

plages accompagnés d’une ribambelle de 

petits bouchons : ce baby boum va devoir 

attendre 16 ans pour faire valoir ses droits à 

l’indépendance ou non, sans oublier que leur 

expansion économique va manquer de bras, 

comme dans les années 60. C’est une 

émigration intérieure de castillans qui a fait 

tourner leurs usines, pour redistribuer leur 

production à toute l’Espagne !!!

jeudi 9 août 2018

CLIMAT



Un autre élément 

inquiétant est le
 
ralentissement de la

 circulation de 

retournement de 

l’Atlantique Nord 


On observe un affaiblissement 

de 15% environ de ces courants sur 

les deux dernières décennies.

Des études historiques du climat nous 

montrent que si ce phénomène se poursuit, il 

aura de graves conséquences sur la ceinture 

de la mousson, autant au Sahel qu’en Asie et 

en Amérique du Sud. 


Tous ces phénomènes peuvent basculer 

rapidement et des milliards de personnes en 

dépendent.

Et ils peuvent se produire avant que les seuils 

d’émissions de gaz à effet de serre définis dans 

l’accord de Paris soient atteints.

végano-sceptique



Plaidoyer de Pierre-Etienne Rault un

végano-sceptique



Un rapport fusionnel a longtemps 
lié l'homme et son territoire, l’être 
fait d’os et de chair à son 
environnement organique et 
minéral.

Si quelque part, au pays, 
une grange était à bâtir, alors un 
instinct de territorialité guidait 
naturellement le paysan vers le 
plus proche filon d’argile pour 
l’entreprise de maçonnerie, vers 
l’arbre multicentenaire pour 
l’entreprise de charpente, vers les 
champs de seigle pour l’entreprise 
de couverture.

L’ensemble constituait un ouvrage 
indigène bâti à coups d’ingéniosité.



Les objets du quotidien, comme les outils de travail, étaient également faits de particules arrachées aux territoires. 
Chacun d’eux était façonné par l’habileté de mains savantes, à partir de matériaux débusqués dans le pli d’une roche, la lisière d’un bois, le lit d’une rivière, les entrailles d’une bête.
Os, cuirs, laines, plumes, crins, tendons, cornes, bois, graisses et suints sont autant de matériaux provenant du monde animal et dont l’Homme a su, un jour, trouver une utilité.
Jusqu’à l’ère thermo-industrielle et l’avènement de la plastochimie, on recourait autant qu’il était possible de le faire à ces matériaux naturels, indigènes et renouvelables.
On leur trouvait des propriétés dont les qualités multiples concordaient avec un grand nombre d’usages : vêtements, colles, harnais, bougies, brosses, lubrifiants, isolants, sacs, selles, chaussures… On trouvait dans le monde végétal ou minéral d’autres matériaux tout aussi utiles mais dont les propriétés ne pouvaient pas toujours rivaliser ou même simplement remplacer les matériaux d’origines animales.
Il fallait donc compter sur les trois mondes, animal, végétal, et minéral pour que le territoire déploie l’ensemble de ses richesses et pourvoie ainsi aux besoins élémentaires des sociétés.

mercredi 1 août 2018

l'immigration musulmane



Les Français sont seuls Occidentaux à ne pas exagérer l'ampleur de l'immigration musulmane

 
Trois économistes d'Harvard 

dénoncent les préjugés des 

populations aux États-Unis et en 

Europe à l'encontre des 

immigrants, dont elles 

exagèrent le nombre.

Les débats au vitriol que suscite aujourd'hui  
l’immigration, aussi bien en Europe qu'aux 
États-Unis, sont à des années-lumière du 
poème qui est gravé sur le socle de la Statue 
de la Liberté dans le port de New-York:
 
«Donne-moi des pauvres, tres exténués, qui en rang pressé aspirent à vivre libres».

Alberto Alesina, Armando Miano et 
Stephanie Stantcheva commencent ainsi leur 
étude publiée par le NBER (National Bureau 
of Economic Research) et intitulée 
«Immigration et redistribution».



Ils ont fait pour cela une vaste enquête par sondages, début 2018, dans six pays - États-Unis, France, Allemagne, Italie, Suède et Royaume Uni -, avec pas moins de 22.500 questionnaires remplis, soit 4000 par pays. Ils sont donc en mesure de comparer la réalité des faits et sa perception par les populations nationales.