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samedi 31 mai 2014

groupuscule de gauche




Analyse de l'élection par un 


groupuscule de gauche




1.- L’élection européenne est traditionnellement une élection-défouloir, le millésime 2014 n’a pas dérogé à la règle.

Nous sommes une démocratie majeure habitée par des concitoyens devenus des enfants trop gâtés.
2.- Malgré une légère baisse de l’abstention, celle-ci reste le premier « parti » de France

3.- Le Front national ne réalise aucune percée par rapport aux élections de 2012, mais il arrive en tête car il profite de la diminution de l’abstention et de la démobilisation des autres électorats.
4.- Les partis qui se réclament de la gauche, en France, sont en voie d’extinction

Jusqu'à la prochaine embellie de la croissance et la baisse du chômage, ce mois de Mai n'a pas dérogé avec ses nombreux ponts, ils étaient tout rouges ou noirs à l'aller et au retour !

5.- Aurions-nous assisté à une répétition générale de la prochaine élection présidentielle où le FN doit jouer un rôle majeur ?

Avec notre électorat, rien n'est impossible !
6.- Le rassemblement des classes populaires et des classes moyennes dans un nouveau Conseil national de la Résistance pour la libération nationale et sociale : une perspective politique enthousiasmante.

Ce n'est pas avec les citoyens, que la scolarisation obligatoire nous a offerts depuis 70 ans, que vous renouvellerez une telle révolution sociale et humaine ( sauf pour nos indigènes)...

Les résultats de l’élection européenne n’ont pas

effrayé les marchés financiers (ils anticipent

toujours)
 

La Bourse, a en effet cloturé le 26 mai, au plus

haut puisque le CAC 40 gagnait 0,75%, son 

nouveau sommet depuis septembre 2008.


Sondage : Deux tiers des Français inquiets par 


les résultats du FN.

jeudi 29 mai 2014

MEDEF et CCI dans le même sac de noeuds




Les CCI du patronat enfin épinglées ..
.


Ses représentants s'élèvent contre les 

conclusions d'un rapport mené conjointement

 par l'Inspection Générale des Finances (IGF), 

des Affaires Sociales (Igas) et du Conseil 

Général de l'Economie (CGEIET).
 


Les conclusions sont particulièrement sévères à l'encontre

 des CCI (MEDEF), 
 

Les inspecteurs mandatés pour la réalisation de ce rapport pointent de nombreuses carences dans la gestion des CCI… par des patrons et le Medef?

Ils évoquent, de façon non-exhaustive, "une situation financière confortable", avec des fonds bien supérieurs à leurs besoins de fonctionnement.

Ainsi, le produit destiné aux CCI provient de la taxe pour frais de chambre, aurait grimpé de 19% "en euros constants" entre 2002 et 2012… Encore des taxes sur les entreprises exangues ?

Les salaires, eux, auraient augmenté de 35% entre 2004 et 2012… Et le SIMC ?

Au total, le "trop-perçu" des CCI serait compris entre 132 millions d'euros et 206 millions d'€uros par an… une poire pour la soif ?
Une somme qui permettrait notamment de financer des activités marchandes déficitaires, une pratique "qui n'est pas conforme à la législation".

Pour mettre un terme à ces déviances, le rapport prône un certain nombre de mesures.

La plus marquante serait de réduire sensiblement le nombre de chambres de commerce et de l'industrie pour n'en maintenir qu'une seule par région d'ici à 2017, dans le sens de la réforme territoriale promise par François Hollande.

Rappelons qu'il existe aujourd'hui quelques 145 CCI sur le territoire national.

Mais encore, le rapport plaide en faveur d'une réduction de la taxe pour frais de chambre dès 2015, en vue de la diminuer d'un tiers dans les trois ans.

Ce qui pourrait permettre de réduire les charges des entreprises françaises, dans la droite lignée du pacte de responsabilité.


Les CCI(MEDEF) se rebiffent :

Devant ce constat les CCI, dans un communiqué publié mardi 27 mai 2014, dénoncent tour à tour "le démantèlement de l'économie sur le territoire", un "hold-up" sur l'argent des entreprises, ainsi qu'une "irresponsabilité" dans le traitement de la formation et l'emploi des jeunes, du fait de la réduction des moyens des écoles et des centres de formation et d'apprentissage.



Les CCI(MEDEF) non contentes d'avoir été repérées par 3 

patrouilles de contrôleurs se montrent menaçantes. 

 

Elles nous promettent de :

- Suspendre tous les travaux en cours avec le gouvernement.

- Se retirer de l'APCE.

- Ne plus promouvoir les politiques publiques, notamment le pacte de responsabilité.

- Ne plus transmettre les données relatives au fonctionnement des CCI, ainsi que les budgets exécutés en 2013.

- Ne plus rendre compte à l'État des missions mises en oeuvre auprès des entreprises françaises.

mercredi 28 mai 2014

MERKEL AU PIED DU NOUVEAU MUR DE BERLIN




Le scrutin européen 

 

et la situation économique


 de EU

 
sanctionnent l'échec 


de la politique

 
d'austerité de Merkel
 


La poussée du FN en France interpelle 


Angela Merkel


Merkel impose Juncker comme candidat du PPE
 

aux Européennes


La croissance allemande atteint 


son plus haut niveau depuis


3 ans au premier trimestre



Croissance : les illusions perdues 


de la zone euro



Ceux qui pensent qu'Angela Merkel a « gagné » les élections 

européennes

pourraient se tromper lourdement. 




Bien sûr, les apparences sont en faveur de cette analyse.

Sa coalition a été confirmée en Allemagne par le scrutin et son candidat Jean-Claude Juncker, imposé par Berlin au reste du PPE en mars dernier, a conservé une avance confortable sur les Sociaux-démocrates.

Au parlement européen, la politique européenne actuelle dispose toujours d'une majorité assurée. Surtout, au Conseil, Angela Merkel est plus que jamais dominante après l'affaiblissement de François Hollande.

Autrement dit, en théorie, tout pourrait continuer comme avant.

C'est, du reste, la ligne défendue lundi par la CDU, le parti de la chancelière, qui a demandé à la France « d'accélérer les réformes. »

Pourtant, le bilan de la stratégie européenne d'Angela Merkel apparaît, lorsqu'on y regarde de près, désastreux.

Et le plus inquiétant, c'est que la chancelière ne semble pas disposer de porte de sortie.

1. Sanction de l'austérité dans les urnes

On a beaucoup insisté sur la « percée » des eurosceptiques lors des dernières élections.
Mais ce vote de protestation ne dit pas tout. Car parfois, les électeurs ont voulu sanctionner la politique d'austérité sans chercher à rompre avec l'Europe. Le critère doit donc être le comportement des partis ayant pratiqué l'austérité et ayant mis en œuvre la logique prônée par l'Allemagne. 
 

Dans ce cas, le bilan est très négatif.


C'est évidemment vrai en Grèce où la coalition d'Antonis Samaras n'a su rassembler que 31 % des voix dimanche.

C'est aussi le cas en Irlande, où les deux partis de gouvernement Fine Gael et Labour subissent un franc désaveu, notamment le deuxième qui aurait perdu les deux tiers de son électorat par rapport à 2011.

Au Portugal, la coalition de droite au pouvoir qui avait été plus loin que les demandes de la troïka n'a obtenu que 28 % contre 50 % lors des législatives de 2011.

A Chypre même, les 46 % obtenus par le président « ami d'Angela Merkel » Nikos Anastasiadès au premier tour de la présidentielle en 2013 se sont mués en 36 % dimanche.

En Espagne, la « victoire » apparente de Mariano Rajoy ne doit pas dissimuler l'effondrement des deux « grands partis » ayant mené des politiques d'austérité et dont l'électorat a été divisé par deux en trois ans !

Aux Pays-Bas, on a beaucoup glosé sur la défaite des eurosceptiques du PVV, mais on a souvent oublié de dire que la coalition au pouvoir, libéraux-travaillistes, qui a mené une politique d'austérité très dure, ne représente plus que 21,3 % de l'électorat…

En Italie, enfin, le triomphe de Matteo Renzi est aussi celui de la sortie du discours austéritaire et de la volonté affichée de mener une politique plus équilibrée.

En réalité, là où l'austérité était au centre du débat, ses défenseurs ont perdu les élections.

C'est une défaite lourde de sens pour Angela Merkel : elle signifie que les électorats ne croient pas au discours des « lendemains qui chantent » véhiculé par cette politique.

Pas davantage qu'au « succès » des « sorties » des plans de sauvetage salué en Irlande et au Portugal à sons de trompettes.

C'est une véritable gifle pour Berlin.

Conséquence de cette déroute, ce mardi soir, Angela Merkel sera sous pression. 
 
Les chefs de gouvernement les plus « dociles » à sa logique vont sans doute se plaindre des effets de leur obéissance. Tous sont affaiblis. Pas seulement François Hollande.

2. Une économie européenne en lambeaux

Dans la logique austéritaire, en effet, les « réformes » sont encore nécessaires.

Il faudrait aller plus vite, plus loin. Les déficits irlandais, espagnol, portugais, grec sont trop élevés.
D'autant que la « montagne » du pacte budgétaire voulue par Angela Merkel se dresse déjà à l'horizon.
Or, l'économie de la zone euro est en danger.
Ces logiques récessives continuent de la tirer vers le bas.
La menace déflationniste se fait de plus en plus concrète : la Belgique, ce mardi, a annoncé son plus faible taux d'inflation depuis 4 ans à +0,36 % en mai.
L'espoir d'une reprise tirée par les exportations semble devenir chimérique.
C'était pourtant la pierre angulaire de la stratégie de Berlin et de Bruxelles.

Jusqu'ici, Angela Merkel a toujours compté sur la BCE : pour sauver l'euro et pour « adoucir » les effets de l'austérité.
C'est encore le cas cette fois, et l'on attend une action de la BCE le 5 juin. 
 
Mais là encore, on arrive au bout de cette logique : dans les milieux proches de la BCE, on avoue que, quoiqu'on fasse, cela ne risque pas d'être suffisant. 
 
La banque centrale ne peut pas tout. 
 
Le danger est même que son action ne crée de dangereuses « bulles. » Ce qu'il faut à l'économie européenne, dans un premier temps, c'est une vraie impulsion du côté de la demande, des investissements massifs pour redonner de l'activité qui manque cruellement partout (sauf en Allemagne).

Mais ces actions supposent soit une « pause » dans l'austérité, soit un « mutualisation » des dettes pour lancer des projets d'envergure en zone euro. Deux éléments que Berlin a toujours refusés, pour le moment. A l'inverse, Angela Merkel avait proposé des contrats de « compétitivité » plus stricts qui plongeraient encore la zone euro dans les affres de la récession.


3. Le cas français

Le cas français est très préoccupant pour Angela Merkel.

La France a envoyé un message clair dimanche : l'austérité ne sera pas acceptée politiquement.
L'évolution de la conjoncture française prouve, par ailleurs, que la stratégie économique demandée à Paris est nocive pour la croissance hexagonale.
Si cette politique se poursuit, compte tenu du chaos politique français, la situation risque de devenir très préoccupante.
Berlin a évidemment une part de responsabilité (une part seulement, bien sûr) dans cette situation puisque ce sont « ses » institutions européennes (two pack, six pack, semestre européen et pacte budgétaire) qui mettent la pression sur Paris.
Surtout, depuis des mois, les médias conservateurs et les élus CDU et CSU tirent à boulets rouges sur la France, rajoutant un sentiment de défiance et une pression supplémentaire sur le gouvernement français.

Pourtant, la stratégie menée avec l'Italie ou l'Espagne en 2011 d'imposer l'austérité malgré tout semble toujours la stratégie officielle, mais elle est inapplicable.
Toute crise économique ou politique de grande ampleur en France serait désastreuse pour Berlin car la France ne peut être « sauvée » comme la Grèce... Mais céder à Paris autrement qu'en donnant quelques miettes (par exemple, un an de plus pour atteindre les 3 % contre des « réformes » accélérées) contraindrait la chancelière à devoir affronter les critiques en Allemagne, mais aussi en Europe.

Les dirigeants européens qui ont mené les politiques d'austérité dans l'esprit souhaité par Berlin ne l'accepteraient guère.
Pourquoi épargner aux Français les « efforts » demandés aux Grecs, aux Espagnols, aux Portugais ?
Pourquoi sanctionner ceux qui ont agi conformément aux règles et récompenser ceux qui les brisent ?
Dans cette économie de l'humiliation et de l'appauvrissement qu'est devenue la zone euro, chacun regarde dans l'écuelle du voisin avec envie et animosité

4. L'incapacité de l'Allemagne à promouvoir une alternative

François Hollande a promis de chercher à « réorienter » l'Europe.

En réalité, moins affaibli politiquement que se qu'ont croit , sa position de victime du FN pourrait pourrait lui être favorable.

Du reste, il a assuré qu'il « tiendrait le cap », autrement dit qu'il poursuivrait la politique d'Angela Merkel.

C'est plutôt du côté de l'Italie qu'il faut chercher un espoir. Renforcé par ses 41 % aux Européennes, le président du conseil italien Matteo Renzi a promis qu'il demanderait lui aussi une « Europe de la croissance » à Angela Merkel.

Matteo Renzi a réconcilié temporairement les Italiens avec l'euro en leur promettant une inflexion dans l'austérité.
Mais il a tiré sur leur confiance une traite en blanc que Berlin va devoir payer.

L'ennui, c'est qu'Angela Merkel est dans l'impasse.

Elle n'a rien à proposer de concret.

Sa seule ligne de conduite, la défense du contribuable allemand, l'empêche de bouger.

L'opinion publique allemande est encore très sensible : relâcher la pression sur les autres pays serait considérer par beaucoup comme une mise en danger du contribuable allemand.

D'autant que le parti eurosceptique AfD a réalisé un très bon score à 7,5 % dimanche, alors même que le parti se cherche idéologiquement et est déchiré en interne.

Une action pro-européenne de la chancelière pourrait lui donner l'unité qu'il cherche et le renforcer.

Au détriment évidemment de la CDU qui, rappelons-le, a réalisé un mauvais score dimanche (six points de moins qu'aux élections fédérales de septembre 2013).

Tout ceci réduit à néant toute marge de manœuvre pour une relance ambitieuse.

Bref, quand bien même elle serait tentée de lâcher du lest, Angela Merkel serait piégée… par sa propre stratégie passée !


En conclusion, il semble qu'Angela Merkel soit dans une impasse.

Sa stratégie d'attente semble épuisée. Elle doit désormais trancher.

Ou sauvegarder ses intérêts intérieurs, en prenant le risque d'une reprise de la crise européenne dont on ne saurait mesurer les effets., pour le contribuable Allemand.

Ou accepter de sacrifier les intérêts immédiats de la politique allemande pour jouer la carte de la solidarité européenne.

Le choix semble facile. Il ne l'est pas pour la chancelière.

D'apres un texte de Romaric Godin

LES MASQUES TOMBENT POUR LES 4.6 MILLIONS DE FRONTISTES




ON VA VOUS MARCHER DESSUS



La parti de Marine Le Pen Ferait des fiches sur 


tous les journaliste de France.

Pour ne pas renier son appartenance a l'EXTREME DROITE 

le directeur de cabinet, l'énarque Philippe MARTEL de Mme

 Marine LE PEN c'est permis d'annoncer 


« ON VA VOUS MARCHER DESSUS ».



Le «premier parti de France» et utilise des méthodes les plus douteuses et condanable vis-à-vis de la presse et des média. 
 

Les étonnants propos du directeur de cabinet de Marine Le Pen, Contacté par la journaliste du Point, celui-ci se lance dans une diatribe contre «tous ces connards de journalistes institutionnels» : «On va vous marcher dessus, annonce-t-il. De toute façon, les Français vous détestent. Notre plan média, c’est de vous attaquer à mort. La presse nous est défavorable, pourquoi continuer à collaborer avec elle ?».


L’homme va plus loin, évoquant un système de fichage de journalistes au sein du Front national : «Il faut dire les études que vous faites, les appartements que vous habitez […] Vous avez vu comment Marine a attaqué Apolline de Malherbe de BFMTV ? Ce n’est rien, ce n’est que le début.»


Un étrange procès en sociologie de la part de cet énarque on ne peut plus «institutionnel», ancien collaborateur d’Alain Juppé, arrivé au Front national en novembre 2013 seulement et qui semble manifester le zèle des nouveaux convertis. 
 

Philippe Martel avait auparavant été à la tête du Palais des Festivals à Cannes, du château de Chambord, et exercé comme conseiller culturel dans les ambassades de France en Indonésie et à Monaco.




EU vers un bon sens… devant le danger d'implosion


Les chefs d’État et de gouvernement


 de UE


 
ont donné mandat au président du



 Conseil européen pour conduire des


 consultations avec le Parlement.



Les dirigeants européens ont enfin décidé

 mardi 

de revoir les priorités de l’UE pour répondre à

 la vague europhobe des élections européennes
 
, avant de nommer le prochain président de la

 Commission.
 


Elles doivent porter «sur les nominations», à commencer par

 
celle du président de la Commission, 

et sur les «priorités»

 pour les cinq prochaines années, à l’issue de quatre heures

 de discussions le 28 Mai à Bruxelles.




Herman Van Rompuy a souligné qu’il avait rencontré Jean-Claude Juncker, le candidat du PPE, le parti de centre-droit arrivé en tête des élections. Mais le choix du prochain chef de l’exécutif européen est encore loin d’être acquis.


«C’est le PPE qui a gagné les élections», a reconnu le président français François Hollande, ajoutant que Herman Van Rompuy devait «regarder s’il y a la possibilité d’une majorité au Conseil et au Parlement». Il «va vérifier si ces deux majorités existent et si ce n’est pas le cas, il reviendra devant le Conseil européen». La chancelière allemande, Angela Merkel, la confirmé en conférence de presse.


Juncker revendique le poste

Fort de la position de premier parti du nouveau Parlement, avec 213 sièges sur 751, le candidat du Parti populaire européen (PPE, centre-droit).

Mais il lui faut former une majorité, pour l’atteindre est une grande coalition avec les socialistes (191 sièges), avec l’apport probable des libéraux (64).

Les chefs des groupes politiques du Parlement ont demandé mardi aux dirigeants de l’UE de laisser Jean-Claude Juncker tenter de trouver cette majorité.

Ce dernier «pourra obtenir le soutien» des socialistes, «à la condition qu’il présente un programme dont les priorités seront la création d’emplois et des investissements pour la croissance, une politique européenne d’immigration globale et une lutte efficace contre l’évasion fiscale», a déclare le président du groupe, Hannes Swoboda.

Mais plusieurs dirigeants de droite refusent de le soutenir : le conservateur Britannique David Cameron et le libéral néerlandais Mark Rutte, mais aussi des chefs de gouvernement PPE comme le Hongrois Viktor Orban, le Suédois Fredrik Reinfeldt et le finlandais Jyrki Katainen, selon plusieurs sources européennes.

Au finale, «il n’est pas exclu que Juncker ne soit pas celui qui soit désigné», a souligné une source européenne.

L’idée est que les consultations de Herman Van Rompuy se terminent à temps pour que lors de leur prochain sommet, fin juin, les 28 puissent proposer un nom à soumettre au Parlement.

Mais il pourra alors s’inscrire dans le cadre d’un «paquet» avec ceux des trois autres postes majeurs des institutions de l’UE : président du Conseil, président du Parlement et de chef de la diplomatie.

Herman Van Rompuy devrait rendre compte de sa mission dans les deux à trois semaines. «Cela ne devrait pas traîner trop longtemps».
Hollande, Renzi et Cameron appellent à une réforme de l'Europe

Après le vote de défiance sans précédent de dimanche dans plusieurs pays, les dirigeants européens veulent aussi fixer des «priorités» à l’UE et à la prochaine Commission.

Herman Van Rompuy a cité «la croissance, la compétitivité et les emplois», «une union monétaire qui fonctionne mieux, la lutte contre le changement climatique», le projet d’une «union de l’énergie» et le «combat contre l’immigration illégale».

Mateo RENZI fort de son succès aux européennes il a fait triompher le centre-gauche et refluer le populiste Beppe Grillo -, le chef du gouvernement italien, a demandé lui aussi un «changement des politiques européennes». «Je suis plus intéressé par les choses à faire : créer des emplois, mieux dépenser l’argent européen, que par une discussion sur un poste ou une fonction».

Cameron s’inquiète pour UE… Alors qu'il l'a toujours combattu ?

AFP

mardi 27 mai 2014

Devant l' impossibilités a reformer



Le Président Hollande est sourd 


il n'entend rien, 

 
les français le sanctionnent 


et il ne bouge pas d'un pouce ?



Mais peut-il changer quelques chose ? 


La France n'a plus les moyens d’offrir a nos

concitoyens ce qu'ils réclament , notre 

économie est sous perfusion mondiale.


La tentation de la dissolution/démission lui a

été formellement déconseillé par nos bailleurs 

et nos partenaires européens et Obama

consultés depuis dimanche soir.



Aujourd'hui notre président va mettre dans la

balance cette tentation (18 mois d'inaction 

politique) contre une inflexion dans les 

contraintes budgétaires qui ont provoqué le

séisme européen de dimanche.



Séisme a relativiser car le FN a fait son score 

habituel depuis 5 ans, 4.5 millions de voix...

Ce sont les abstentionnistes qui propulsent le %.

Résultats de NOUVELLE DONNE



NOUVELLE DONNE


Résultats par circonscription



Voici la liste définitive des résultats des listes Nouvelle Donne aux élections européennes.

Bravo aux candidats, aux équipes de campagne, aux militants et merci aux

549 774 électeurs et électrices qui nous ont fait confiance !



OUEST – 96 173 voix – 3,53%

NORD OUEST – 65 617 voix – 2,41%

EST – 59 310 voix – 2,44%

SUD EST – 104 424 voix – 3,15%

MC/CENTRE – 41 878 voix – 2,84%

SUD OUEST – 88 515 voix – 3,01%

IDF / FDE – 93 857 voix – 3,06%


Source : Ministère de l’intérieur



lundi 26 mai 2014

L'ABSTENTION



L’abstention


premier parti de France


Il n’en reste pas moins que les résultats


des européennes,


 vu au travers du prisme de


la participation électorale,


 

6% du corps électoral a voté pour le PS


8,6 % pour l’UMP 
 

10,75 % pour le FN


qui se présente comme le premier

 parti de France



marque un désaveu cinglant de la classe


 politique et de l’Europe actuelle.


Il n’y a pas de quoi pavoiser !

samedi 24 mai 2014

une abomination humanitaire.




Garde alternée, statut des beaux-


parents, à qui appartiennent les


 enfants ? 

 

La loi sur la famille fait polémique
 


De quelle famille parlons nous ?


Combien d'enfants sont concernés ?



Qui prend en compte l'absence de père ou de mère ?, la famille mono parentale est-elle viable psychiquement pour les enfants, vu la polémique ? que dire, des enfants confiés à la protection à l'enfance ? quel est leur environnent en foyer, en famille d’accueil … en points rencontre ?


Je rappelle qu'il n'y a pas si longtemps, les nantis confiaient leurs nourrissons à des nounous, plaçaient leurs enfants dans des institutions (pensions) religieuses dès 7 ans, ils n'en sortaient qu'aux vacances trimestrielles, pour les plus chanceux et qu'en juillet pour les autres.


Nous sommes les ancêtres de familles inimaginables aujourd'hui, nous avons tous survécu tant bien que mal aux abominations qu'on nous fait subir par méconnaissances et négligences sociales de notre histoire.



QUI VA SE DECIDER A LEGIFERER POUR

 REDUIRE LE NOMBRE DE MAMMIFERES

 TOXIQUES  QUI EUTHANASIENT LEURS

 PARTENAIRES ET LEURS PROGENITURES PAR

 AMOUR.



La famille…


Aujourd'hui en 2014, elle se réduit à quoi : à une mère, un père, une grand-mère, un cousin, une tante ?


Combien d'enfants connaissent leur Père ?

Combien d'enfants pourraient énumérer le nom de tous leurs cousins ?

combien d'enfants voient leurs grands-parents ?

combien d'enfants ignorent le nom et le nombre de leurs demi frères ?



Cette polémique de nantis vertueux sur la loi 


famille est une abomination humanitaire !

jeudi 22 mai 2014

Ennemi financier se rend... miraculeux M Hollande





10 milliards d'€uros 
 

de rentrée fiscale en plus

grâce à la lutte contre la fraude



Compte tenu que Bercy ne communique pas les

 montants négociés des impôts dus et des

 pénalités, 


« Si les 10 Mds sont le fruit


d'une imposition de 


5 % »


la France et ses banques 


auraient donc récupéré



190 MILLIARDS d'€UROS

mercredi 14 mai 2014

Campagne des EUROPEENNES





Le Débat participatif est dépassé



L'ABRE A PALABRE EST-IL ENCORE


 D'ACTUALITE ?



ALORS QUE TOUS LES CAPITALO-LIBERAUX 


DEBRIDES SPECULENT AVEC NOS SALAIRES 

ET NOS ÉCONOMIES A LA NANOSECONDE...



LES NOUVEAUX GOUROUS EN POLITIQUE 

VEULENT NOUS VENDRE LE DEBAT CITOYEN 

PARTICIPATIF «  L'ARBRE A PALABRE ».



Comme si le climat, la mondialisation et le 

21ème siècle allaient nous laisser du temps 

pour réfléchir  et trouver un consensus !

lundi 12 mai 2014

EDUCATION NATIONALE





Éducation

 

Le Mammouth a la peau bien


 tendre...



La publication annuelle du bilan social du

 Ministère de l'Éducation Nationale permet de 

plonger dans le quotidien des 846.000 

enseignants français.

 

De quoi avoir des notions précises concernant, 

leurs horaires de travail, leur absentéisme en 

passant par leurs salaires.



En moyenne 35,6 jours, dans la lignée de la fonction publique


Les enseignants seraient trop souvent absents.

C'est ce qu'affirment les parents d'élèves, dont les fédérations représentatives, comme la FCPE, ont pris l'habitude de recenser ceux qui n'étaient pas remplacés, parfois pendant de longues semaines…
On ne compte plus les lettres de protestation indignées dans les rectorats face à l'absence d'un professeur de mathématiques ou d'anglais.

Contrairement à d'autres professions, l'absence d'un professeur est ressentie par plus d'une trentaine de familles.

L'effet de loupe est dévastateur…

Durant l'année scolaire 2011-2012, 44,4 % des personnels ont pris au moins un congé pour raisons de santé, d'une durée cumulée moyenne de 35,6 jours .

Cette durée moyenne recouvre des congés pour maladie ordinaire essentiellement, mais aussi maternité, paternité, adoption, accident du travail, longue maladie, etc.

La moitié des personnes arrêtées a pris moins de six jours sur l'année scolaire 2011-2012.

Le fait d'enseigner en zone d'éducation prioritaire (ZEP), là où les élèves sont les plus défavorisés et où se concentrent les problèmes de violence et d'autorité entraîne davantage de congés maladie.

Les enseignants affectés en collèges ou lycées de ZEP sont ainsi 50 % à avoir posé au moins un jour de congé maladie, contre 42 % dans des collèges et lycées ordinaires.

La différence est marquée pour les congés de maladie ordinaire mais aussi pour les congés de maternité puisque les enseignants affectés dans ces établissements sont plus jeunes…

Peut-on en conclure que les enseignants sont plus absentéistes que dans le reste de la fonction publique?
«Absolument pas. Ils ne le sont ni plus ni moins que les autres».

Les comparaisons sont d'autant plus hasardeuses que plus de 70 % des enseignants sont des femmes, plutôt jeunes.

Elles cumulent donc davantage de congés maternité comme les salariés du privé et les autres fonctionnaires.
De fait, selon les rares études sur le sujet, et si l'on ne compte pas les congés maternité, Ce sont les policiers qui dans la fonction publique comptaient le plus grand nombre d'arrêts maladie «ordinaires», devant les agents des ministères de la Défense, de la Justice, de l'Équipement, de l'Emploi et de la Solidarité. Les enseignants arrivaient ensuite.


Temps de travail: un tiers des heures s'effectuent à la maison

Calés sur le rythme de leurs élèves, les enseignants bénéficient de 2.5 jours de congés payés par mois travaillés .

Ce qui correspond aux petites vacances scolaires.

Les salariés prennent en moyenne un peu plus de SIX semaines de congés payés ou de réduction du temps de travail.

Ils dispensent 24 heures de cours hebdomadaires à l'école, et entre 15 et 18 heures au collège et au lycée selon qu'ils sont titulaires du concours de l'Agrégation ou du Capes.


Cela suffit-il pour les traiter de privilégiés, comme on l'entend souvent?

La réalité est très variable selon le statut de l'enseignant, son âge ou sa discipline.

Il est d'autant plus difficile de l'appréhender que les seules données existantes sur leur temps de travail reposent uniquement sur leurs déclarations via l'Insee.

Pendant l'année scolaire, un enseignant du premier degré déclare, en moyenne, 44 heures de travail par semaine, dont 25 h 30 en présence d'élèves.

Le reste se répartit en préparation des cours, corrections des copies, réunions ainsi que surveillance d'études ou de cantine.
Encore faut-il préciser que les enseignants de maternelle (38 h 30) déclarent moins d'heures qu'un enseignant de primaire (43 heures).
Logique: Ils n'ont pas de correction des copies en maternelle ni d'heures d'études…

Dans le second degré, un enseignant déclare en moyenne 41 heures de travail par semaine.

À une heure d'enseignement correspond au moins une heure de travail en dehors. Les professeurs de disciplines littéraires, eux, annoncent un peu plus d'heures de corrections et de préparation de cours que leurs homologues scientifiques ou que les professeurs de langues.

Une dissertation serait plus longue à lire qu'un devoir de mathématiques. Les professeurs de sport, de dessin ou de musique, eux, amènent peu de travail à la maison.

Le temps moyen de travail ne reflète d'ailleurs pas la variabilité des déclarations: un enseignant sur dix déclare moins de 9 heures de travail en dehors des heures de cours et un sur dix déclare plus de 35 heures!

Contrairement aux idées reçues, les enseignants peuvent travailler pendant les « vacances de leurs élèves» : Ils ont comme tous les salariés 2.5 jours des congés annuels par mois travaillés.
Ils travaillent sur l'année 8 jours pendant l'été et un jour et demi par semaine pendant les autres vacances scolaires.

Enfin, à chaque âge suffit sa peine.

Si les plus jeunes déclarent un volume horaire assez élevé avec plus de 45 heures par semaine, un creux s'observe pour les 30-34 ans avec un temps de travail inférieur de 8 heures.

Cette différence se situe surtout sur le temps de préparation de cours extrêmement élevé (plus de 10 heures par semaine pour les jeunes) sans doute lié à un «coût d'entrée» dans le métier d'enseignant.
Une fois élaborés et rodés, les cours, même améliorés et modifiés au fil des années, prennent moins de temps.

des salaires sur 12 mois: de grandes inégalités

Selon les données de l'Éducation nationale, le portrait-robot de l'enseignant lambda est celui d'une femme, âgée entre 30 et 50 ans.

En collège et lycée, elle gagne en moyenne 2459 euros net par mois, 2123 euros si elle officie à l'école primaire.
Ces salaires paraissent relativement faibles car ils sont annualisés par rapport à celui des salariés français au même niveau d'études (bac + 5), mais les enseignants ont le desavantage d'être des fonctionnaires…a mi-temps.

D'après les comparaisons internationales, les enseignants français gagnent en moyenne 20 % de moins que leurs homologues du reste de l'OCDE.

Surtout, les professeurs des écoles atteignent à peine 1500 euros en tout début de carrière.

Un enseignant allemand, par exemple, touche le double.
Mais à l'étranger, les enseignants sont souvent tenus d'être présents plus longtemps au sein des établissements et ils ne bénéficient pas de la même sécurité de l'emploi que les Français…

Enfin avec l'avancement à l'ancienneté quasi automatique dont ils bénéficient, les Français atteignent en fin de carrière les salaires de leurs collègues européens.

Les différences de statuts sont en revanche énormes en France. Ceux qui travaillent dans l'enseignement secondaire ont ainsi la possibilité d'effectuer des heures supplémentaires qui arrondissent leur salaire.

En fin de carrière, un agrégé touche 4000 euros en moyenne et jusqu'à 4700 euros.
Un professeur de chaire supérieur en classe préparatoire peut toucher jusqu'à 7000 euros.
Le professeur des écoles, lui, ne dépassera jamais 3000 euros.


Des départs à la retraite qui s'échelonnent de 57 à 61 ans et demi

Les enseignants du second degré sont en moyenne âgés de près de 61 ans et demi lors de leur départ à la retraite.
La différence est mince par rapport au privé (62 ans). Et ils partent plus tard que dans le reste de la fonction publique. Les enseignants du premier degré qui ont, pour la plupart, eu le statut d'«instituteurs» pendant au moins quinze ans de carrière bénéficient en revanche à ce titre de la possibilité de partir de manière anticipée, cinq ans avant les autres.
Ceci explique qu'ils soient en moyenne âgés de seulement 57,8 ans au moment de leur départ.

Cet avantage va toutefois s'amenuiser progressivement.

Les ministères de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur rémunèrent pour le secteur public 771.800 ayants droit retraités.

Un effectif qui représente plus de la moitié des ayants droit pour l'ensemble des administrations (52,5 %).
La pension moyenne de ces retraités s'élève à un peu plus de 2300 euros par mois.
Les enseignants touchent en moyenne 120 euros de plus.


Une profession dévalorisée qui n'attire plus les meilleurs étudiants

Violences, difficultés d'apprentissage, hétérogénéité des élèves, la profession d'enseignant ne ferait plus envie.
Sans compter des salaires peu attractifs… Selon un sondage réalisé par la Varkey GEMS Foundation sur la perception du métier, en France, les enseignants sont comparés à des travailleurs sociaux ou des bibliothécaires quand les Chinois les assimilent à des médecins!

De fait, la profession n'attire plus les meilleurs étudiants dans certaines disciplines.

Le fait que des centaines de candidats aux concours de professeurs ont eu cette année un zéro éliminatoire, interroge !

Les résultats du concours exceptionnel du capes promettent de leur côté une pénurie de professeurs en mathématiques, anglais, lettres.

La moitié des postes en maths n'ont pas été pourvus, faute de candidats au niveau.

Cette «session exceptionnelle» offrait 1592 postes en mathématiques. Seuls 793 des 2529 étudiants s'étant présentés ont réussi les épreuves.

Certes, ce concours «exceptionnel» a été ouvert pour augmenter le nombre de profs. Additionné au concours «classique», ils seront en fait plus nombreux par rapport à 2013.

Reste que le décalage entre le nombre de postes offerts et pourvus dans certaines disciplines est inquiétant.
C'est vrai pour les mathématiques, victimes de la concurrence des métiers d'ingénieurs plus rémunérateurs.
Idem pour l'anglais. Ces matières manquent depuis longtemps de professeurs. Mais le problème touche l'ensemble des pays développés.
Les lettres, elles, peinent à recruter parce que peu d'étudiants continuent le latin ou le grec en faculté.

Depuis 2010,

le métier d'instituteur nécessite un judicieux un bac + 5, ce qui a réduit le vivier de candidats. 
 

Les enseignants se disent néanmoins 

majoritairement satisfaits de leur métier.


D'après un texte de Marie-Estelle Pech,