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vendredi 28 août 2015

Le retour de demandes religieuses ou puritaines ?



Des violences récurrentes du a des demandes religieuses à l'hôpital, c'est encore une invention Des REPUBLICAINS .

C'est la porte-parole du parti, Lydia Guirous, qui le révèle une inflation de tensions liées à des problématiques religieuses.

 

Le rapport sur lequel elle s'appuie ne dit rien de tel.


Fraîchement nommée porte-parole de LR par Nicolas Sarkozy, Lydia Guirous (autrefois chargée des questions de laïcité à l’UMP) attaque fort sa rentrée d’intox avec son thème de prédilection : la supposée montée des revendications «communautaristes» dans les établissements de service public.

Après le port du voile à l’université, ou celui de la jupe longue au lycée, elle s’inquiète maintenant d’une augmentation des violences «pour motifs religieux» dans les hôpitaux publics.
Le 21 août, elle utilise un fait divers, l’agression d’un aide soignant au CHU de Bordeaux le 9 août, pour dénoncer dans un tweet puis un communiqué une inflation des cas de violences pour motif religieux à l’hôpital public.

retours des 172 établissements ayant répondu à un questionnaire, le sondage révèle bien qu’un tiers des structures ayant répondu affirment avoir rencontré, un jour, un problème lié à une question de laïcité - posé par des usagers ou par des soignants. 
 Mais «ces remontées concernent un nombre limité de situations qui ont été accessibles au dialogue et traitées sans difficulté notable», soulignent les auteurs du rapport, publié en juin.
Surtout, il n’est fait mention d’aucune augmentation de ce type de conflits, contrairement à ce que suggère Lydia Guirous dans son communiqué.
«On ne tient aucun décompte de ce type de violences [liées à un problème religieux] et ce sondage ne fait pas état d’une situation particulièrement critique, explique la FHF.
On s’attendait à ce qu’il y ait quelque chose, mais non. C’est regretable d’être instrumentalisé ainsi.»



dimanche 16 août 2015

TIANJIN, LA CATASTROPHE DES CATASTROPHES INDUSTRIELLES





La catastrophe de trop pour la


Chine


et

 
son régime


Explosion de TIANJIN troisième port du monde

est ravagé pour plusieurs années, 1 milliard de

marchandises est détruit et c'est 6 % des

 capacités de transport en container du globe

 qui vont être immobilisées pour réparation, 

pour plus d'un an.


Le milliard de marchandises n'arrivera jamais à bon port. 
Des milliers de clients ne seront jamais livrés et des entreprises chinoises vont manquer de pièces pour leurs usines de montage.

Cela va impacter le CA de nombreuses entreprises et de commerce dans le monde.

Le drame est avant tout Humain.

Il va être financier et il vient au plus mauvais moment après deux dévaluation du Yuan.
Le PIB chinois va chuter de 2 points sur l’exercice 2015/2016 à minima.

Ou et comment la Chine va t-elle dépolluer et évacuer les ruines du port de TIANJIN ?

La pollution :

Le port et ses environs ont été contaminés par des substances chimiques inconnues qui sont le résultat de combinaisons de milliers de produits chimiques entr'eux, qui ont inventé des substances inconnues.
Les hommes, les femmes, la flor et la faune en donneront les premiers signes, ils seront les premiers touchés.

Lundi, à l’ouverture des marchés, l’ampleur de la catastrophe financière va affoler les bourses du monde entier.

Mais les capacités de production du reste du monde saisiront-elles l'occasion pour relever le défi: Elles donnaient des signes de grande faiblesse et de mauvaise augure… La France devrait saisir sa chance !!!

Les velléités d’expansion et de projection de la Chine vers l'extérieur vont donc être revues à la baisse par le régime, qui ne va pas pouvoir camoufler trop longtemps les causes et les responsabilités qui ont rendu possible cette catastrophe (un acte terroriste n'était pas à exclure, mais il aurait été déjà revendiqué)

Cette catastrophe aura des répercutions planétaires aux dimensions inconnues.

samedi 15 août 2015

C'est FAUX


 

En France, 

une plainte pour viol est enregistrée 

toutes les 40 minutes 

 

le nombre de viols dénoncés aux autorités a augmenté de 18% en cinq ans.



C'est faux 80 % des viols se sont jamais suivi d'une plainte et 
20 % des plaintes sont retirées

mercredi 5 août 2015

Égoïsme d'un peuple d'arrogants



Artur Mas,

le Président de la Généralité de Catalogne,

a convoqué des élections anticipées pour

le 27 septembre 2015

Avec en ligne de mire l'obtention d'une majorité absolue au parlement Catalan

Ce qui lui permettrai a moyen terme selon lui d'obtenir

l'indépendance

de sa région.



M. Mas a formé une liste commune avec ses rivaux d’Esquerra republicana, parti indépendantiste de gauche, et les associations indépendantistes qui ont organisé d’impressionnantes manifestations ces dernières années.
La campagne électorale s’ouvrira le 11 septembre, journée de la Catalogne, avec une nouvelle manifestation d’envergure à Barcelone.
Même si les derniers sondages font apparaître que la majorité des Catalans sont opposés à l’indépendance de leur région,
Artur Mas et ses alliés comptent grâce à la mobilisation de leurs partisans obtenir la majorité absolue au parlement régional.
Celle-ci suffit, selon eux, pour mettre en œuvre leur projet de création d’un État indépendant, qui doit déboucher en dix-huit mois sur l’adoption d’une Constitution.
Hors de la CEE et de l'€uros,
Comment vont vivre les entreprises catalanes a 40 % étrangères et de la perte de leur fournisseurs castillans, et 60 % de leur CA de leurs clients ibériques et 100 % du marché de UE ?
Les « charnegos »* et leurs descandants 67 % voterons-t-ils pour avoir un passeport et un visa pour aller au « pueblos » de leurs ancêtres en vacances ?
GB


* charnegos noms péjoratifs et discriminatoires attribués au émigrés économiques espagnoles dans les années 60, par les Catalans.




Des survivant de SHOA ont brûle vif un nourrisson arabe




Ce nourrisson, Ali Dawabsha,
 
ne cesse de me hanter. 
 
Une main ouvre une fenêtre, 
 
en pleine nuit, 
 
et jette un cocktail Molotov 
 
dans une chambre où dorment 
 
des parents et leurs enfants.



Cette obsession et ces images me brisent le cœur. 
 Qui est l’homme, ou les hommes, 
capables de commettre un tel acte ?
Car eux, ou leurs amis, sont parmi nous.
Est-ce que cet acte va laisser une empreinte
reconnaissable sur eux ?
C'est survivants de SHOA

Le Premier ministre, Benyamin Nétanyahou, et certains ministres de droite se sont hâtés de condamner vigoureusement cet assassinat. Nétanyahou s’est aussi rendu à l’hôpital pour présenter ses condoléances à la famille endeuillée, et a exprimé son désaveu face à cet acte.


Sa réaction était humaine et authentique, tout autant qu’adéquate. En revanche, ce qui reste difficile à comprendre, c’est comment le Premier ministre et ses ministres réussissent à faire l’impasse, dans leur conscience, entre le feu qu’ils alimentent depuis des décennies et le récent incendie.
J’ai du mal à saisir qu’ils ne puissent pas envisager le rapport entre le régime d’occupation, qui dure depuis quarante-huit ans, et la réalité obscurantiste et fanatique qui a germé dans les marges de la conscience israélienne, réalité dont les agents et les fourriers se multiplient de jour en jour, réalité qui gagne désormais le cœur d’Israël et devient de plus en plus acceptable et légitime dans la rue israélienne, au Parlement et au Conseil des ministres.
Avec une sorte d’entêtement à nier la réalité, le Premier ministre et ses partisans refusent de comprendre en profondeur la conception du monde qui a façonné la conscience d’un peuple occupant, après presque un demi-siècle d’occupation : la conception qu’il existe deux catégories d’êtres humains et que le fait que l’une soit assujettie à l’autre signifie, semble-t-il, qu’elle est inférieure par nature à l’autre.
Que l’occupé, en somme, est moins humain que l’occupant.
Ce qui autorise certains des individus à la personnalité particulière à arracher la vie de cet autre, avec une légèreté effrayante, serait-il âgé d’un an et demi.
En ce sens, les deux récents actes violents, les coups de poignards lors de la Marche de la fierté homosexuelle à Jérusalem et l’assassinat du nourrisson sont liés et découlent d’une conception du monde similaire : tous deux s’alimentent à la haine, une haine pure, revendiquée, absolue, qui légitime aux yeux de certains individus une cause insuffisante pour assassiner et éliminer un être haïssable.
L’homme qui a mis le feu à la maison des Dawabsha ignorait tout de cette famille, de son mode de vie et de ses aspirations.
Il savait juste que c’étaient des Palestiniens, raison suffisante à ses yeux et aux yeux de ses mandataires et partisans pour les tuer.
Bref, leur existence même justifiait, selon lui, leur assassinat, leur élimination de la surface de la Terre.
Cela fait plus de cent ans qu’Israéliens et Palestiniens se débattent dans un cercle vicieux de meurtre et de vengeance.
Au cours de leur lutte contre nous, les Palestiniens ont assassiné des centaines de nourrissons et d’enfants israéliens, exécutés des centaines de familles et commis des crimes contre l’humanité.
L’Etat d’Israël aussi, dans sa lutte contre les Palestiniens, a perpétré ce genre d’actes, à l’aide de ses avions, de ses tanks et de ses snipers.
Nous gardons tous en mémoire ce qu’il s’est passé, il y a un an, au cours de l’opération «Bordure protectrice».
Mais le processus qui se déroule depuis ces dernières années au sein de l’Etat d’Israël, sa puissance et sa contamination accélérée, est dangereux et destructeur de manière inédite et confondante.
On a le sentiment que la direction du pays ne comprend pas, ou refuse de reconnaître, ce fait insupportable : que des fauteurs de terrorisme juifs lui ont déclaré la guerre, et qu’elle est incapable, ou qu’elle redoute, ou qu’elle se montre ambivalente devant la nécessité d’élucider désormais cette menace sans équivoque.
De jour en jour, se libèrent ici des forces sauvages fanatiques, obscurantistes et hermétiques à cause de leur jusqu’au-boutisme.
Elles s’exaltent au feu de leur passion religieuse et nationaliste.
Elles s’affranchissent totalement des limites de la réalité et de la morale, des règles de la simple logique.
Dans cette auto-exaltation, leur âme s’agrège aux traits extrémistes et parfois déments de l’âme humaine.
Et plus la situation générale se fait dangereuse et instable, plus elles prospèrent.
Avec ces individus, le compromis est impossible.
Le gouvernement israélien doit les combattre exactement comme il le fait contre le terrorisme palestinien.
Ils ne sont pas moins dangereux que lui.
Ils ne sont pas moins déterminés que lui.
Ce sont des êtres totaux et, comme on sait, les êtres totaux sont susceptibles de commettre des erreurs totales, comme la destruction des mosquées sur le mont du Temple, dont les conséquences sont à même de se révéler catastrophiques pour Israël et le Moyen-Orient tout entier.
Se peut-il que l’horreur de la crémation du bébé conduise les dirigeants de la droite à se ressaisir et à comprendre enfin ce que la réalité leur crie depuis des années ?
Que poursuivre l’occupation et esquiver le dialogue avec les Palestiniens pourrait conduire à la fin de l’Etat d’Israël comme Etat du peuple juif ?
Comme Etat démocratique ?
Comme un lieu auquel des jeunes gens peuvent s’identifier, où ils peuvent vivre et élever leurs enfants ?
Est-ce que Nétanyahou comprend vraiment, profondément, qu’en fait, ces années au cours desquelles il s’est entièrement consacré à torpiller l’accord avec l’Iran, une nouvelle réalité s’est établie ici, non moins dangereuse que la menace iranienne et face à laquelle il se conduit comme un homme désemparé ?
Difficile de voir comment débrouiller cet écheveau et ramener la situation à davantage de bon sens.
La réalité créée par Nétanyahou et ses partisans (de même que par la majorité de ses prédécesseurs au poste de Premier ministre), leur servilité à l’égard de l’activisme des colons, leur profonde adhésion à leurs objectifs, cette réalité les a, en fin de compte, capturés et transformés en dirigeants impotents et paralysés.
Cela fait des décennies qu’Israël présente aux Palestiniens son côté obscur, mais cette obscurité, depuis longtemps, s’insinue en lui-même, et ce processus s’est accéléré depuis la victoire de Nétanyahou lors des dernières élections et depuis qu’il n’existe plus de force à opposer à la brutalité de la droite.
Des actes épouvantables comme la mort du bébé représentent, en fait, un symptôme d’une maladie plus grave.
Ils nous avertissent, nous les Israéliens, de la gravité de notre situation.
Ils nous disent, en lettres de feu, que la voie vers un avenir meilleur se referme devant nous.
D'après un texte publié dans le quotidien israélien Haaretz le 2 août, traduit de l’hébreu par Jean-Luc Allouche.