Il condamne sans appel
Une «économie qui tue» autour d'un «marché
divinisé» qui génère «un système injuste à la racine» qui
sera à terme cause de «violences», qu'aucun système de «forces de
l'ordre» ne pourra contenir si une régulation n'intervient pas.
«Je
prie le Seigneur, qu'il nous offre davantage d'hommes
politiques qui aient vraiment à cœur la vie des pauvres.»
Il affirme et reconnaît que cela dérange certaines consciences «dérangés»:
«C'est gênant de parler de solidarité internationale (…), de
parler de défendre des emplois (…), de parler d'un Dieu qui exige
un engagement pour la justice.»
Mais,
dans son esprit, il n'y a pas d'évangélisation, sans cette forte
«dimension sociale».
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