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vendredi 20 octobre 2017

Catalogne ça se corse!!!



D’ores et déjà,
 

l’économie de la Catalogne


pâtit du conflit. 
 

L’activité touristique dans la région 

a chuté de 15 % depuis le début de 

la crise, une baisse qui atteint 20 % 

pour les réservations d’hôtels.

Les ventes d’automobiles ont baissé 

de 30 %.

Les commerces et la restauration 

sont inquiets pour la période de 

Noël.

Environ 800 entreprises ont délocalisé leur siège social depuis le 2  octobre ou annoncé leur délocalisation.

Parmi elles, des banques importantes Sabadell, CaixaBank des banques catalanes, des géants énergétiques, d’infrastructures ou éditoriaux Gas Natural, Abertis, Planeta le goncourt espagnole !!!

Région la plus dynamique d’Espagne, mais aussi la plus endettée elle doit 52 milliards d’euros à Madrid, elle a toutes UE contre elle.
La Catalogne enregistre de très inquiétantes prévisions économiques.

Et, par conséquent, l’Espagne.

Selon l’administration Rajoy, la croissance devra être revue à la baisse en raison des effets du conflit catalan, de 2,6 % à 2,3 % soit quelque 13 milliards d’euros.

Et le ministre de l’économie espagnol Luis de Guindos, jeudi, d’en rajouter dans le catastrophisme : «Ce que nous voyons en Catalogne n’est qu’un apéritif.»

Une sécession de la ­Catalogne aurait des effets plus lourds et immédiats que le divorce négocié aujourd'hui par le Royaume-Uni dans le cadre du Brexit.
C'est l'éléphant qui s'invite au 
sommet. 
À une crise catalane de plus en plus pesante, les vingt-sept partenaires de UE et Mariano Rajoy ont plébiscité jeudi un appel à l'unité espagnole et au dialogue politique qu'ils martèlent depuis le «référendum» indépendantiste début octobre.
Mais la confrontation qui se profile fait naître de nouvelles dissonances dans l'UE.
Elle donne le vertige à tous ceux qui s'alarment d'un divorce autrement plus brutal que le Brexit.
«Je condamne toutes les formes de violence et je plaide pour qu'il y ait un dialogue afin de trouver une solution politique»
Charles Michel, premier ministre belge
Angela Merkel et Emmanuel Macron ont affiché un soutien sans faille au gouvernement espagnol, en arrivant à Bruxelles.

1 commentaire:

  1. Aucun pays du monde est la pour reconnaître cette nouvelle république égoïste et raciste!!!

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