FRANÇAIS,
VOUS VOUS
ÊTES
INFLIGE UNE BRANLÉE
MONUMENTALE
Lors
des dernières élections européennes, après
les municipales, les
français ont adressé à la
5ème Republique
« une
fin de non recevoir ».
Une
sanction vis-à-vis de la politique gouvernementale injustifiée,
mais aussi une sanction vis-à-vis des Non-Miracles que les hommes
politiques ne peuvent plus tenir !.
Cette
sanction est lourde de menace pour notre avenir, car les solutions à
notre desenchantement sont connues et les moyens à mettre en œuvre
aussi, mais nos concitoyens ne veulent pas en payer le prix…et à
en souffrir ?
Le
vote du 25 mai 2014, est catastrophique pour toute l’Europe, il
est l’expression d’une incompréhension et d’un rejet profond
de la mondialisation : refus de vouloir assumer nos erreurs
collectives et d'en souffrir un peu.
Les
français ont sanctionné l'impossibilité de la non-distribution des
richesses, de la séparation incomplète des banques, de
l’austérité, de la non-inversion de la courbe du chômage, de
l’augmentation de la TVA, de l’allongement des retraites, de
l’absence de retour de la croissance… de l'absence de miracle !
La croissance, la loi de « l'offre et la demande »
sont les piliers du dogme Capitalo-Libéralisme Débridé, et 90 %
des gouvernements du monde y adhèrent . Une bonne partie de la
gauche n'a pas le choix d'y adhérer. La Gauche continue d’ailleurs
de se méprendre sur beaucoup de sujets économiques.
Cela
fait 40 ans qu’une croissance durable a disparu, il est temps
d’admettre qu’elle pourrait ne jamais revenir et d’arrêter de
tout miser sur son retour, en évitant les aventures financières,
qui se transforment en catastrophe économique.
Travaillons
à améliorer dès à présent le vivre ensemble, sans croissance,
dans ce contexte qui s’impose à nous depuis maintenant 40 ans.
Se
faisant collectivement, nous redonnerons un sens à notre démarche
politique, nous redonnerons une perspective aux Européens.
Les
français se mettent en danger à ne pas comprendre ou à refuser
d’admettre le changement fondamental de notre monde .
Car
nous vivons un moment historique, aux conséquences irrémédiables.
Les
partis traditionnels n'ont plus la faculté de faire des miracles
économiques.
Par
leurs pratiques, les partis ont donné des signaux mensongers aux
électeurs.
Le
PS en refusant de dire la vérité sur la politique gouvernementale
qu'on lui imposerait au vu de nos bilans.
Les
militants PS pléthoriques, incapables de recevoir et d'adhérer à
un discours de vérité,
bafouant
ses propres règles en matière de cumul des mandats, et cautionnant
des pratiques lors de la constitution des listes. Sa rhétorique
misérabiliste permanente ; ils ont oublié que « le
socialisme c’est chercher la vérité et la dire », c'est
INTERDIT !
De
la même manière l’UMP, à travers ses dernières affaires, a
démontré qu’il continuait d’user de pratiques dont les français
ne veulent plus entendre parler, mais ils sont incapables d'assumer
les coûts d'un parti (des cotisations ridicules et symboliques).
En
prenant conscience de cette situation et en agissant sur le nombre de
nos élus, sur leurs prérogatives, leurs rémunérations et le
nombre de leurs collaborateurs et des sanctions qu'ils encourent en
cas de manquement à l’Éthique et à la Probité de leur fonction
« ELU DE LA REPUBLIQUE », cela améliorerait la
situation !
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