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mardi 11 novembre 2014

L'écologie plombée



CONFÉRENCE
PARIS CLIMAT 2015


Cette grand messe mondiale sur le déreglement climatique à du plomb dans l'aile.

La victoire des républicains aux élections de « mid term » aux USA exclut toutes avancées pour réduire les gaz à effet de serre significativement sur leur continent... et pour notre planète !!!

Une annulation nous ferait faire des économies en émission de gaz à effet de serre ...et en €uros !!!

1 commentaire:

  1. Pékin et Washington concluent un accord «historique» sur le climat
    Les deux pays se sont fixés des objectifs quant à leurs émissions de gaz à effet de serre, à un an de la conférence mondiale sur le climat prévue à Paris.

    La Chine et les Etats-Unis, les deux premiers émetteurs de gaz à effet de serre, se sont fixés mercredi à Pékin de nouveaux objectifs concernant leurs émissions, pressés par l’urgence d’un accord mondial à la conférence climat fin 2015 à Paris. La Chine, premier émetteur mondial, a adopté l’objectif d’un pic de ses émissions de gaz à effet de serre «autour de 2030», avec l’intention «d’essayer d’y arriver plus tôt», a annoncé la Maison Blanche.
    De leur côté, les Etats-Unis se sont engagés sur une réduction de 26-28% de leurs émissions d’ici 2025 par rapport à 2005. 
    C’est la première fois que la Chine s’engage sur un pic de ses émissions, c’est-à-dire sur l’année à partir de laquelle celles-ci cesseront d’augmenter et où la courbe s’inversera. 
    Ces annonces ont été faites alors que le président américain Barack Obama était reçu à Pékin par son homologue chinois Xi Jinping, après que les deux dirigeants eurent participé la veille au sommet de coopération économique de l’Asie-Pacifique (Apec). Obama a salué mercredi un «accord historique» avec la Chine sur la question du climat.

    Gros problème pour Obama les républicains majoritaire depuis les mid term trouve ACCORD HISTORIQUE irrealiste et ne le ratifirons pas.
    Mais dès l’annonce faite à Pékin, le chef des républicains du Sénat à Washington, Mitch McConnell, a qualifié d'«irréaliste» l’objectif américain. Dans les négociations sur le climat, la Chine exige systématiquement de ne pas être logée à la même enseigne que les pays industrialisés.
    Pékin met en avant le principe des «responsabilités communes mais différenciées», selon lequel la responsabilité de la lutte contre le réchauffement planétaire incombe principalement aux pays développés. L’Europe de son côté s’est engagée sur une réduction d’au moins 40% de ses émissions pour 2030 par rapport à leur niveau de 1990.
    Le mois dernier, la commissaire européenne au Climat, Connie Hedegaard, avait appelé les Etats-Unis à prendre un objectif «concret et ambitieux» de réduction de leurs émissions.
    Au sujet de l’année que choisirait la Chine pour commencer à réduire ses émissions, Mme Hedegaard avait déclaré: «Le faire en 2030 serait trop tardif. Une date beaucoup plus rapprochée serait un cadeau fait au monde par la Chine».
    La deuxième économie de la planète, également premier marché automobile mondial, est poussée à agir contre le CO2 car la pollution atmosphérique s’est imposée comme un problème majeur dans les métropoles chinoises.
    Le Premier ministre chinois Li Keqiang a récemment annoncé que le pays allait fermer 50.000 petits fourneaux à charbon et améliorer les performances environnementales de centrales de plus grande taille.
    Reste que la Chine représente la moitié de la consommation mondiale de charbon, une source dont elle tire plus de 70% de son énergie, avec une tendance toujours à la hausse: le pays continue en parallèle à bâtir de nombreuses nouvelles centrales thermiques.
    AFP

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