Cette
indépendance, c'est d'être exclus de l'UE et de la zone €uro.
Intégrer l'UE
n'est pas si simple. Le traité européen stipule que chacun des
vingt-sept états membres peut opposer son veto à l'adhésion d'un
candidat.
L’Espagne fera à juste titre
usage du sien, la France de même, pour éviter une revendication de
demande de rattachement des PO et de l’Ariège, l'Italie s'y
ralliera pour se protéger des revendications de sa Padanie, et la
Belgique idem.
De plus 50%
des Catalans sont des fils ou petits fils de «Charnegos»(immigrés
castillans traités comme des sous hommes durant des décennies par
les catalans) qui devront donc se munir d'un passeport et d'€ pour
aller se recueillir sur la tombe de leurs parents au «Pueblo» ?
Pourtant ces
catalans votent à 50% pour cette coalition capitalo-libéral
débridée populiste et xénophobe , cette xénophobie qu'ont subi
leurs pères ou grand-pères.
«Chaque
année, la Catalogne envoie 16 milliards d'euros à Madrid qu'elle ne
revoit jamais».
Et pour cause
la Catalogne n'a pas de Ministère des armées, des Affaires
Étrangères, de banque centrale, de douane et de police des
frontières.
50% de ses
entreprises et sociétés sont des multinationales, combien de
brevets sont déposés au nom de chercheurs Catalans ?
Risque de boycott
RépondreSupprimerLe virage du président de Catalogne vers le séparatisme a pris de court les milieux économiques.
A Madrid comme à Barcelone, on s'interroge sur les conséquences de cette perspective, alors que la région concentre 19% du PIB et plus de 30% des exportations.
"Si la Catalogne prend son indépendance, nous partons", a averti José Manuel Lara, président de Planeta, poids lourd de l'édition espagnole basé à Barcelone.
Il a été l'un des seuls patrons à s'exprimer ainsi publiquement. Mais, en privé, les patrons catalans craignent de payer les pots cassés d'une telle transition.
Ils savent que, dans cette hypothèse, ils seraient exposés à un boycott du reste de l'Espagne qui représente 50% de leur CA.
Joseph