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jeudi 8 novembre 2012

Des lendemains d'OBAMA qui déchantent




LA DETTE US représente aujourd’hui la somme astronomique de 16 000 Mds $ est la plus grande menace pour toute les économies du monde.
 
C'est le mouvement populo-fascisant des Tea Parties du Parti Républicains US qui a mobilisé les anti-Obama pour pousser leurs candidats aux élections de mi-mandat à l’automne 2010, ils ont toujours a ce jour la majorité à la Chambre des représentants. 
 
Mais la bataille de la dette qui doit être résolu avant l' investiture , elle est devenu une obsession républicaine, et si il n'y a pas un accord,
en vertu d'une loi votée en 2011, 200 Mds $ de réductions automatiques de dépenses publiques et 400 Mds $ d'augmentations automatiques d'impôts vont intervenir.

Dans son programme, Barack Obama promettait de réduire la dette de 4 000 Mds $ dans les quatre ans à venir, dont 600 Mds $ pour 2013, en coupant dans certains programmes gouvernementaux, mais aussi en augmentant les impôts pour les plus riches et en investissant dans de nouveaux projets d’infrastructure. «Je ne vois pas pourquoi ceux qui volent en jet privé ne pourraient pas faire un petit effort supplémentaire», a-t-il maintes fois répété durant cette campagne. Mitt Romney, de son côté, refusait toute hausse d’impôts déclarée, et assure qu’il allait replacer le budget américain sur la route de l’équilibre en supprimant certaines exemptions fiscales. Il a toutefois pris bien soin de ne jamais préciser son projet.
 
Et tous les experts estimaient que les deux candidats, dans le contexte économique actuel, n’avaient pas les moyens de remplir leurs objectifs.
De l'avis général, ce scénario catastrophe, délibérément conçu pour forcer les deux partis à négocier.
Un compromis en vue de réduire durablement le déficit budgétaire des États-Unis.
Cette perspective déprime depuis un an l'investissement des entreprises, décourage l'embauche et hante les bourses et les gouvernants du monde entier.
Du reste, à l'ouverture des cotations mercredi sur les marchés américains, les indices boursiers plongeaient.
Les agences de notation ont toutes placé la dette fédérale sous surveillance avec implication négative depuis des mois. Le risque de dégradation des États-Unis par Moody's et Fitch Investors Service grandit à mesure que le blocage politique à Washington s'éternise.
Leur consœur Standard & Poor's est la seule pour l'instant à avoir retiré aux obligations de l'Oncle Sam leur notation AAA, réservée aux emprunteurs de meilleur standing. 
 

Le déficit budgétaire américain a dépassé 7% du PIB en 2012

 

C'est donc les députés du Tea Party du Parti Républicain qui ont l'avenir économique et sociale de la planète entre leur mains, leur refus plongerait l'économie américaine et le monde en récession l'an prochain.



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